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    LA VEGETATION AUTOUR ET SUR LES PLANS d’EAU

     

    Dans certains marais, étangs et anciennes tourbières, le milieu végétal aquatique et ter­restre est complet et ne nécessite aucune modification, sauf, parfois, l'élimination ou le contrôle de certaines espèces pouvant s'avé­rer nuisibles, ou trop abondantes.

    Par contre, pour les étangs mis en eau périodiquement, pour les réservoirs récem­ment créés, les lacs artificiels, les balastiè­res, etc., il faudra procéder à la création d'un milieu naturel à caractère marécageux, car les plans d'eau nus ne retiennent pas l'at­tention des canards, surtout quand il s'agit pour eux de nidifier. Il sera donc indispensa­ble d'introduire une certaine végétation pour que les oiseaux puissent se cacher, s'abriter du vent et des prédateurs, établir son nid et se nourrir.

    Ces plantes, dont nous citons ci‑dessous un certain nombre d'espèces, seront repi­quées, de préférence au printemps.

    On pourra se procurer les plants dans des marais et étangs comportant une végétation abondante, ou encore dans le commerce. (Nous déconseillons l'utilisation de semen­ces, d'une germination trop aléatoire.)

    Enfin, une trop grande profondeur interdi­sant les plantations, il faudra parfois aména­ger des rives en pente douce, ce qui aura également l'avantage de donner aux oiseaux des points d'accostage indispensables.

     

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     Canard Souchet

    Végétation de bordure:

    Si le plan d'eau a des rives dénudées, il conviendra de planter en bordure une végétation haute, se développant aussi bien dans l'eau que sur le terrain avoisinant. Parmi les nombreuses espèces qui peuvent être re­commandées, nous conseillons particulière­ment le jonc commun, ou jonc des marais (scirpus lacustris) et le roseau Phragmite (phragmites communis) vulgairement appelé « rouche », « roseau à balai », etc. Ces deux espèces, qui atteignent 2,50 m de haut, constituent un couvert remarquable. Elles s'implantent et se multiplient très facilement.

    Citons également la massette à larges feuilles (typha latifolia), le rubanier dressé (sparganium erectum), l'oseille géante (ru­mex hydrolapathum) et sa proche parente l'oseille des eaux (rumex aquaticus), l'iris d'eau (iris pseudacorus), etc.

    Enfin, une excellente végétation de rive peut être constituée par les carex, également appelés « leiches », plantes moins hautes mais très appréciées par le gibier. Citons en­tre autres le carex en ampoule (carex am­pullacea), le carex jaune (carex falva) et, sur­tout, le carex stricta, variété très répandue qui forme de grosses touffes émergées très propices à l'établissement des nids. Le seul défaut de cette espèce, que nous conseillons très vivement, est de combler à la longue les eaux peu profondes dans lesquelles elle se développe, inconvénient évidemment regret­table, mais qui est largement compensé par l'intérêt présenté par cette plante sur le plan de la nidification.

    Végétation purement aquatique émergée ou flottante :

    Indépendamment des couverts de bordure, il est toujours souhaitable qu'un plan d'eau comporte une végétation purement lacustre. Elle sera constituée de plantes émergées, enracinées sous l'eau, ou de plantes flottan­tes.

    Parmi les premières, citons les renouées aquatiques (polygonum amphibium), les po­tamots, dont on compte de nombreuses va­riétés: potamogeton natans, potamogeton flui­tans, potamogeton densus, etc.), le trèfle d'eau (menyanthes trifoliata), la sagittaire (sagittaria sagittaefolia), la renoncule d'eau (renonculus aquatilis) et les cressons (roripa amphibia et nasturtium officinale), ces der­niers ne se développant qu'en eau courante.

    Sont également très appréciées des ca­nards, les différentes espèces de nénuphars et nymphaea. Des études du contenu de l'es­tomac des anatidés ont montré que ces plan­tes pouvaient atteindre 80 % du régime ali­mentaire des anatidés. Toutefois, nous atti­rons l'attention du lecteur sur le fait que ces espèces peuvent envahir très rapidement les plans d'eau.

    En ce qui concerne les plantes flottantes non enracinées les plus intéressantes sont celles qui composent la famille des lentilles d'eau (lemna) dont les palmipèdes font une grande consommation. Toutefois, nous n'en conseillons l'introduction qu'avec la plus grande prudence et uniquement sur les étangs de grande superficie. En effet, cette espèce est, elle aussi, très envahissante et peut, en une seule saison, recouvrir d'un épais tapis vert uniforme toute la surface d'une pièce d'eau qui perd ainsi une grande partie de son attrait par manque de visibilité.

     

    Fuligule Milouin mâle

     Fuligule Milouin mâle

     

    Végétatlon aquatique Immergée :

    Bien que moins intéressantes pour un ca­nard de surface comme le colvert, les plan­tes totalement immergées ont l'avantage de favoriser la prolifération d'une série de petits insectes et crustacés aquatiques recherchés par la gibier.

     

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    LE PANIER DE PONTE POUR AQUATIQUES

     

    Nous ne saurions trop insister sur l'impor­tance des paniers dont l'emploi en France est trop peu usité, alors qu'à l'étranger ils sont à la base de la nidification naturelle, et sont employés de façon intensive. Nous n'en vou­lons pour preuve qu'un exemple venant de Hollande, où, sur un étang d'environ 5 hec­tares, 400 paniers de ponte sont occupés chaque année !

    Ces paniers, sont évidemment assez chers, mais leur rendement et leur longévité sont tels qu'ils sont rapidement amortis.

    Certains de nos lecteurs penseront qu'il suffit, pour obtenir de bons résultats, de dis­poser d'un milieu favorable à la nidification, c'est‑à‑dire constitué de saules têtards, roseaux, arbustes, têtes de carex stricta (appelées aussi, suivant les régions, têtes de saffre, tignon ou bousin) émergeant de l'eau, bois inondés, etc. Nous leur affirmons qu'il n'en est rien et que l'adjonction judicieuse de pa­niers leur apporterait une augmentation cer­taine et très appréciable du nombre des nids.

    En effet, un des gros avantages du panier de ponte est de faire accepter au couple ni­cheur la proximité d'autres oiseaux qu'il re­fuse lorsqu'il utilise un nid naturel. On peut donc obtenir une densité beaucoup plus forte et éviter l'élimination des nouveaux arrivants par les premiers oiseaux installés.

    Un autre avantage du panier est la façon parfaite dont le nid est dissimulé et protégé, ce qui donne à la cane couveuse la quiétude et la confiance désirables. La conception du panier, qui comporte un seul orifice, permet à la couveuse de défendre ses oeufs très ef­ficacement contre tous les prédateurs.

    Ces paniers peuvent être installés dans tous les complexes aquatiques naturels, que ce soit étang, tourbière, marais, cours d'eau, etc., mais une condition est essentielle : con­naître les différences de niveau d'eau qui seules pourront déterminer la façon de procéder. A notre connaissance, il existe quatre méthodes:

    ‑ à même le sol, mais à proximité de l'eau, sur les rives ou sur une lie. Dans ce cas, le panier sera fixé entre 4 piquets afin d'éviter qu'il ne roule. Toutefois, cette formule exige l'élimination radicale des renards et surtout des rats, ce qui est rarement possible ;

    ‑ en pleine eau, méthode certainement la plus employée car elle est la plus efficace. Le panier sera fixé à environ 30 cm au‑des­sus de la surface de l'eau sur 4 piquets dis­posés en croix, ou sur deux branches four­chues ;

     

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    -          sur radeau flottant, lorsque l'on redoutera des différences de niveau d'eau. Ce radeau pourra être un de ceux dont nous avons par­lé précédemment. Plus simplement, on aura recours à un dispositif moins important com­posé de trois planches et de deux piquets. La planche centrale, supportant le panier, sera fixée sur 2 planches transversales as­surant la stabilité de l'ensemble, le tout étant maintenu par les 2 piquets qui serviront de guides et permettront au radeau de monter et de descendre ; 

    -          dans les arbres ; les bois inondés sont bien souvent d'excellents lieux de nidification et nous ne saurions trop con­seiller d'y déposer des paniers à une hau­teur suffisante au‑dessus du niveau de l'eau. Ils seront fixés soit sur des branches four­chues, soit ligaturés à même le tronc.

     

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    Nous Insistons sur le fait que l'orifice de ces paniers doit, dans tous les cas, être orienté au sud, détail qui est une con­dition essentielle de réussite. Enfin il est souhaitable d'en garnir l'intérieur avec de la paille fine ou du foin. Il est aussi possible de remplacer ces paniers en utilisant soit de vieux bidons percés en dessous, soit des cageots à oranges, etc. Il est à noter que ces expédients ne seront valables que s'ils ne comportent qu'une seule issue.

     

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    Les paniers de ponte contribuent largement à la réussite

    en matière de reproduction  chez certains aquatiques.

    Ici des colverts.

     


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    AMELIORATION DES MOYENS DE NIDIFICATION

                              DES AQUATIQUES

     

    LES ILES

    En raison de la protection qu'elle as­sure contre les prédateurs, une île constitue toujours un excellent emplacement pour l'éta­blissement d'un nid. S'il n'en existe pas, il sera quelquefois possible d'en créer artifi­ciellement, à condition que le plan d'eau soit peu profond et qu'il soit très abrité, faute de quoi les vagues produites par le vent ne manqueraient pas de détruire très rapidement ces aménagements. En tout état de cause, il sera toujours prudent d'entourer les îlots ar­tificiels de fascines tels que des fagots de branchages compacts.

     

    LE RADEAU FLOTTANT

    Sur les grands plans d'eau où il est presque toujours impossible d'établir des îles artificielles, on aura recours aux radeaux, qui ont sur les îles le grand avantage de suivre les variations de niveau d'eau. Rappelons, en effet, que lors des pluies abondantes du printemps, nombre de nids sont détruits par les crues.

    Ces radeaux devront être suffisamment élevés au‑dessus de la surface de l'eau pour ne pas être « lavés » par les vagues les jours de grand vent. Quant à leurs dimen­sions, elles peuvent être variables, étant en­tendu que plus ils seront grands, plus ils pour­ront accueillir de couples nicheurs dont la proximité ne semble pas toujours constituer un handicap : il nous a été donné de voir, sur un étang, en Angleterre, un radeau oc­cupé à la fois par un couple de Grèbes, un couple de Bernaches du Canada et un autre de Cols‑verts. Les dimensions seront donc laissées à l'initiative de chacun, en fonction des matériaux dont il disposera, la moyenne souhaitable étant de 2 x 2m.

     

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     Le radeau se compose de deux parties:

    1) La partie inférieure, qui est l'élément flottant, peut être constituée soit par un ba­teau plat, soit par des fûts en bois ou en métal, ou par des cuves diverses, soit par des plaques de polystyrène expansé, corps imputrescible ne nécessitant aucun entretien, extrêmement léger et dont la flottabilité et la tenue à l'eau sont excellentes.

    Il convient cependant de protéger le poly­styrène de façon à éviter qu'il soit attaqué et détérioré par les palmipèdes qui, souvent, le consomment volontiers.

    2) La partie supérieure ou plate‑forme, fixée sur l'élément flottant, sera constituée d’une surface plane en planches, en tôle, en fibrociment ou en feuilles de matière plastique. On choisira de préférence le matériau qui sera à la fois le plus léger et le plus solide. Cette plate‑forme sera équipée sur tout son pourtour d'une plan­che posée de chant, de 20 cm de haut au minimum, ou de rondins.

    L'ensemble sera alors rempli de terre sur une épaisseur d'environ 25 cm. Cette terre devra garder son humidité (au besoin on percera dans le fond quelques trous de faible diamètre), et l'on y plantera une végé­tation appropriée: herbes, carex, joncs, etc.

    On pourra très utilement compléter cet aménagement en disposant un ou deux pa­niers de ponte noyés dans cette végétation.

    Ces radeaux seront alors conduits en pleine eau et solidement amarrés. D'une manière générale, comme tous les radeaux peuvent ne pas être occupés, on multipliera les chances en augmentant leur nombre ; cette remarque est également valable pour les îles.

     

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    LE FAISAN VENERE

     

    Importé en 1831 du nord et du centre de la Chine, c'est l'une des espèces les plus répandues. Le coq est un oiseau imposant à très longue queue, qui atteint chez les indi­vidus adultes, 1,70 m. Une rayure noire sur la tête blanche, aux yeux cernés de rouge, la gorge et le dessus de tête blancs lui donnent un aspect fier et coloré. Les plumes recou­vrant les ailes sont blanches, à bordure noire, celles du dos et des flancs jaune‑or. Les longues plumes de la queue, blanches au milieu, jaune‑or sur les bords, sont striées de jaune, de brun ou de noir.

    La poule, qui comme toutes celles des faisans à longue queue est colorée, a un man­teau rouge‑brun, moucheté de brun‑noir. Cette espèce qui se reproduit dès l'âge d'un an, est très à recommander aux amateurs débutants car les faisans vénérés sont des oiseaux robustes, se contentent d'une volière pas trop grande et y couvent même.

    En effet la poule couve parfois elle­-même , ce qui épargne l'emploi d'incuba­teurs ou de poules couveuses.

    Les faisans Vénérés ont, de tous les faisans du monde, le vol le plus rapide ; ils s'élancent d’un seul coup dans les airs. On en élève beaucoup comme oiseaux de chasse car, étant « d’un tir difficile », ils constituent un magnifique gibier.

    Nombre d'oeufs : une vingtaine. Couvaison : 25 jours.

    Mûr pour la reproduction : 1 an. Polygame (1‑3 ; 1‑6).

    Distinction des sexes : immédiate. Les coqs à un jour sont rougeâtres, les poules brunes.

    A mesure qu'ils prennent du plumage, la différence s'estompe. Après 7‑8 semaines, lorsque les plumes de la queue ont poussé, on peut de nouveau distinguer aisément les sexes. Ces plumes sont, en effet, d'une blancheur de neige chez la poule et jaunâtres chez le coq. Si, plus tard, on tire quelques plumes de la poitrine, on voit apparaître des plumes identiques à celles des parents car les faisans Vénérés sont la première année, en pleine splendeur.

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    Oie de Ross immature (à gauche), et oies des neiges 

     (photo Jerry Friedman - Wikipedia)

     

    LES OIES BLANCHES DU GRAND NORD

     

    C'est surtout dans les jardins zoologiques que l'on rencontre les oies blanches naines ; cepen­dant, quelques aviculteurs en possèdent aussi. Ces volailles d'agrément peuvent s'acclimater dans nos régions bien qu'elles ne soient pas d'origine européenne.

    La plus petite race d'oies blanches (oie de Ross) est originaire des régions de Perry‑River, au centre du Canada arctique. Pendant l'hiver, ces oiseaux émigrent du côté des de Sacramen­to et San Joaquim, traversant les Rocky Mounts. Cette race est très peu répandue.

    Une autre variété d'oies blanches de petite taille, ou petite oie des neiges, pesant environ 2 à 2,5 kilos, vit dans les îles Southampton, la baie de Baffin, sur les côtes nord des Etats‑Unis à l'est de la baie d'Hudson. On les rencontre en­core sur les côtes de la mer Arctique et dans la toundra d'Asie du nord. Le Dr S.M. Uspenski a trouvé des preuves de leur présence pendant les deux cents dernières années dans le nord asiati­que. Leur disparition n'est pas confirmée mais on la redoute. La population du nord‑est sibérien pratiquait autrefois des chasses régulières à l'oie blanche naine, si bien que les effectifs ont été décimés. D'après les témoins, les oies étaient peu farouches et, à l'époque de la mue, se lais­saient approcher et abattre sans réaction. Les oeufs étaient ramassés aussi, ce qui ne donnait pas grande chance à la race de se perpétuer. Les oies émigrèrent du côté américain pendant l'hiver mais, là encore, on se mit à les chasser sans répit. On raconte qu'un bon chasseur pou­vait tuer plus de cent oies par jour, plusieurs mil­liers pendant une seule saison. Il apparaît donc comme certain que ces volailles ont été victimes des populations de la chasse.

     Une troisième catégorie d'oies blanches ou grande oie des neiges, est constituée par une race plus grosse qui vit dans le nord‑est du Groenland et les îles avoisinantes.

    Ces oies sont des représentants typiques de la faune du Grand nord. Les couvaisons débutent dans les derniers jours du mois de mai, aussitôt après la fonte des neiges. Les oiseaux vivent alors en colonies compactes. Un creux dans le terrain, tapissé d'herbes sèches et de plumes, sert de nid.

     En captivité, l'élevage des oies blanches nai­nes ne pose pas de problèmes. Elles vivent en bonne intelligence avec d'autres espèces de vo­lailles, sauf peut‑être en prériode de couvaison.

     Elles ont besoin de beaucoup de verdure (parc) mais peuvent être nourries aussi de grain, pom­mes de terre écrasées, comme les oies ordinai­res. Il est aussi recommandé de leur fournir un plan d'eau ou au moins un bassin.

    Ces volailles sont particulièrement résistantes, du fait de leur origine. Au moment de la nichée, les femelles pondent 4 à 7 oeufs d'un blanc mat, qu'elles couvent patiemment sous la surveillance du jars. Les oeufs éclosent au bout de 22 à 25 jours et les jeunes se développent rapidement, plus facilement que les oisons ordinaires.

    Dans la nature, la période de mue commence au mois de juin ; cette mue est intensive et at­teint les oies couveuses également. La mue dure en général moins d'un mois ; lorsqu'elle est ac­complie, tous les oiseaux, jeunes et vieux quit­tent les nids et partent à la recherche de quar­tiers d'hiver.

    Des ornithologues nord‑américains ont fait une expérience destinée à l'observation des migra­tions des oies blanches. A cet effet, quelques­ unes furent capturées et teintes en rouge, bleu ou vert. Des oiseaux de ces couleurs inhabituel­les ne pouvaient passer inaperçus. On s'était d'abord assuré que les oies teintées ne seraient pas repoussées par leurs congénères, ni laissées seules. D'ailleurs, à l'occasion de la mue sui­vante, les plumes repoussèrent parfaitement blanches.

    L'aspect de ces oies est particulièrement ravissant. Elles sont très appréciées des éleveurs de volailles d'agrément mais sont encore peu répandues.

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