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    Mandarin

     

     

    GENERALITES SUR LES AQUATIQUES D’ORNEMENT

     

    Les  aquatiques d'ornement comprennent une quantité d'oiseaux nageurs, parmi lesquels les cygnes, les oies et les canards et assimilés constituent le groupe le plus nombreux, comportant au total plus de 220 espèces. Certaines peuvent être facilement tenues en captivité.

     

    La nature a pris des dispositions spéciales pour permettre aux oiseaux aquatiques de se mouvoir facilement sur l'eau qui est leur élément naturel. Leur corps contient un certain nombre de vides, ce qui réduit leur poids par rapport au volume ; certains os renferment de l'air et ces réservoirs d'air ont un effet pneumatique dont les oiseaux profitent.

     

    Leur tronc a une forme caractéristique, aplati et pourvu d'une large surface portante, il rappelle la coque d'un bateau. Le bréchet se prolonge loin vers l'arrière, et les côtes sont très longues ; leurs pieds sont palmés, ce qui les rend capables de se déplacer rapidement sur l'eau. Leur large bec est aplati et garni sur les côtés de lamelles faisant fonction de passoire, qui leur permet de recueillir leur nourriture dans l'eau. L'eau et la vase passent à travers, et les éléments nutritifs (plantes, coquillages, vers) sont retenus dans le bec avant d’être absorbés.

     

    La couche de graisse sur la poitrine et le ventre constitue une protection contre un trop grand refroidissement du corps. A J'extrémité du dos, quelques centimètres avant l'attache des pennes caudales du milieu. se trouve une glande reconnaissable à un léger renflement, garni d'une courte touffe de plumes. Cette glande est d'une importance essentielle pour les oiseaux aquatiques, car elle sécrète une substance grasse servant à enduire le plumage, le rendre lisse et imperméable., Sous une pression légère, les pores de la glande sécrètent une substance jaunâtre, assez limpide, qui est fortement hydrofuge, et sent l'huile.

     

    Les oiseaux aquatiques enduisent quoti­diennement tout leur corps de cette « huile » qu'ils répartissent avec leur bec sur les plumes sans en oublier aucune.

     

    Le fait que le palmipède ne puisse se baigner pendant quelques jours entraîne l'arrêt du fonctionnement de la glande. Il est donc impératif de permettre aux oiseaux aquatiques de se baigner chaque fois qu’ils en éprouvent le besoin. Un oiseau aquatique d'ornement, qui a été manipulé par l'homme. ira toujours d'abord se baigner, dès qu'il aura retrouvé sa liberté, afin que son plumage soit de nouveau propre et en ordre.

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    CHEZ LES FAISANS

     

    L’ALIMENTATION

    Formule :

    aucune modification fondamen­tale après les travaux de Scott. Nous trouvons encore des divergences parfois sérieuses entre les taux de substances protéiques brutes pro­posés, et l'énergie métabolisable en calories. C'est pourquoi, nous désirons rappeler que l'aliment pour le premier âge, d'un jour à quatre semaines contient 29‑30 % de pro­téines, avec une énergie métabolisable : 3000 cal/kg ; de 4 à 9 semaines : 24 % de protéines énergie métabolisable : 2900 cal/kg ; de 9 se­maines à la vente ‑ granulé (ou farine) avec 20­-22 % de protéine + céréales.

    L'alimentation hivernale des oiseaux desti­nés au repeuplement, varie selon les élevages . aliment pour reproducteurs avec 19 % de protéines, énergie métabolisable : 2950 cal/kg (on peut composer un aliment plus riche en protéines, avec des céréales).

    Présentation :

    la présentation classique en miettes et granulés est toujours largement pra­tiquée. Certains éleveurs professionnels emploient aussi la présentation en farine : on a une absorption moins rapide et avec moins de gaspillage qu'avec les granulés chez les reproducteurs, la ponte est identique avec une consommation légèrement inférieure. Chez les jeunes sujets, il semble que les gra­nulés dont la consommation tend à être plus élevée, permettent un accroissement pondéral plus important, qui, selon un spécialiste, le professeur Scott, serait de l'ordre de 5‑10 % en plus.

    Compléments médicamenteux :

    Ils sont ajoutés pour prévenir certaines maladies. On note d'ailleurs une nette évolution en ce qui concerne la prophylaxie des coccidioses, de la trichomonose et de l'histomonose, de la syn­gamose et de la capillariose.

    La prévention des maladies parasitaires est très importante car elles sont particulièrement graves chez les faisans. 


     LA PLANTATION DE LA VOLIERE

    La volière extérieure doit rappeler autant que possible,  un décor naturel. Les faisans ont besoin de végétation pour pouvoir se cacher et se reposer à l’abri des regards indiscrets; il s'agit là d'un facteur important de leur bien‑être. Chaque volière peut être conçue comme un jardin

    miniature avec un point d'eau, une rocaille et une épaisse broussaille.

    Les plantes à feuillage persistant sont vivement recommandées, car elles ne rejettent leurs vieilles feuilles que lorsque les nouvelles sont épanouies. Certains arbustes portent deux ou trois générations de feuilles, ce qui est le cas notamment, des rhododendrons, des lierres et des sapins.

    Les conifères sont d'un magnifique effet ; beaucoup d'entre eux se plaisent surtout en sol sablonneux. Ils poussent aussi bien en plein soleil que dans les endroits mi‑ombragés. On peut les planter par groupes de différentes hauteurs, les plus petits sur le devant, bien entendu.

    Il est nécessaire d'éviter les plantes dont le feuillage est plus ou moins vénéneux, surtout lorsque la volière est peuplée d'oiseaux qui consomment une certaine quantité de feuilles, comme les Tragopans. Même lorsque la verdure est abondante dans la volière, beaucoup d'espèces de faisans attaquent les arbustes qu'il faut parfois remplacer. Il s'agit là en fait, d'un phénomène naturel qui montre que les sujets sont en bonne santé.

    Les arbres et arbustes qui donnent des fleurs au printemps, et des baies en automne, peuvent être plantés devant la volière ou sur les côtés, de façon à améliorer l'aspect d'ensemble, en cachant certains éléments de la structure de la volière qui ne sont pas toujours très décoratifs.

     

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    Bernache à tête rousse

     

    A PROPOS DES AQUATIQUES D’ORNEMENT

     

    A l'opposé des oies et des canards domes­tiques, les oiseaux aquatiques d'ornement doivent être toujours tenus par couples, comme Cela se passe chez le canard sauvage et l'oie grise.

    L'accouplement a lieu sur l'eau : le mâle surnage la femelle, s'agrippe du bec à sa nuque, tâche de coller son cloaque au sien et l'introduction du pénis fait jaillir le sperme. Cela dure 10 secondes environ. L'accouplement est suivi d'un moment de raideur, après quoi les deux oiseaux se lavent.

    L'accouplement n'est pas nécessairement le signe que les oiseaux vont se mettre àconstruire un nid et pondre. Les cygnes noirs et les cygnes à col noir, par exemple, cherchent dès l'âge d'un an à s'accoupler. Cependant, ils n'atteignent la maturité sexuelle qu'à trois ans et c'est alors qu'ils construiront un nid et pondront.

    L'homosexualité se manifeste parfois chez les cygnes et il arrive que deux mâles ou deux femelles construisent un nid. Deux femelles appariées pondent aussi des oeufs inféconds évidemment.

     

    LA VOIX

    Chaque oiseau aquatique d'ornement émet des sons spécifiques. Surtout au printemps et en automne, les canards d'ornement lancent différents appels qui accompagnent leurs gestes amoureux sur l'eau. Les cygnes noirs et les cygnes à col noir émettent des sons divers, qui ont tous leur signification. Ils servent à attirer, à exprimer l'angoisse ou le désir de se faire admirer. Les oies d'ornement ont parfois des cris très aigus qu'elles ne font cepen­dant pas entendre souvent. Les cris des oiseaux aquatiques d'ornement ne sont jamais vraiment incommodants.

     

    LA DÉTERMINATION DU SEXE

    Chez la majorité des cygnes et des oies ainsi que chez certaines espèces de canards, les sexes ne se différencient pas par la couleur, et il faut une grande expérience pour déterminer le sexe d'après l'aspect extérieur. Seul l'examen des parties sexuelles apporte la certitude ; il exige toutefois de l'expé­rience pratique.

    Il faut renverser l'oiseau sur le dos et, si nécessaire, le faire tenir par une autre personne. On écartera alors prudemment les plumes pour faire nettemertt apparaître la cloaque, dont les parois seront, à leur tour, écartées. Un membre oblong, rose clair, soit partiellement caché, soit dardé, indique le sexe masculin.

    A défaut de celui‑ci, une petite rosette charnue, concave indique le sexe féminin.

    Si l'oiseau se débat, on fera une petite pause pour lui permettre de se détendre et pour rendre l'examen plus facile.

     

    LA MUE

    La mue est un processus naturel et nécessaire au cours duquel tout l'organisme se renouvelle et les organes de ponte se reposent.

    Chez la plupart des canards d'ornement, les canetons ressemblent tous, durant les six premiers mois de leur vie, à leur mère dont le plumage est le plus souvent simple, gris brun. A l'automne, les pattes et le bec changent de couleur et peu à peu les mâles revêtent leur habit de noces, souvent resplendissant et riche en couleurs, qu'ils ne perdent que l'été suivant. La teinte des femelles s'accentue, mais reste en général terne. Maints amateurs débutants ou profanes dans le domaine des canards d'ornement ont souvent peine à croire que le modeste oiseau brun qu'on lui montre au mois d'août puisse devenir cette merveille de couleurs qui, avant l'hiver, aura atteint l'apogée de sa beauté. Après la mue‑éclipse de l'été, le canard perdra pour un temps une partie de son beau plumage, qui réapparaîtra en automne dans toute sa splendeur.

    Certaines espèces de canards d'ornement n'ont pas de mue‑éclipse, et ont, dès leur jeunesse, un dessin et des couleurs magnifiques (Sarcelles des Bahamas ‑ Versico­lore ‑ du Cap). Les espèces européennes telles que la Sarcelle d'hiver, la Sarcelle d'été, le Canard Pilet et le Canard siffleur d'Europe ne gardent leur habit de noces que peu de temps. hélas.

     

    L'AMPUTATION PARTIELLE DE L’AILE OU ÉJOINTAGE

    Les oiseaux aquatiques d'ornement qui sont presque tous des oiseaux sauvages non domestiqués, s'envoleraient dès que leurs ailes seraient suffisamment puissantes. Pour les en empêcher, il faut leur amputer une partie de l'aile. La seule juste manière est d'amputer les grandes rémiges primaires d'une aile, tandis que le pouce, auquel sont fixées deux autres pennes. doit rester. Cela a pour conséquence qu'à l'envol, les deux surfaces portantes étant inégales, l'oiseau perd son équilibre et tombe. Les oiseaux à ailes courtes et au battement d'ailes rapide, tels les canards, culbutent même en tentant‑de s'envoler.

     

    L'éjointage de très jeunes oiseaux, jusqu'à 3 semaines d'âge, dont les os sont encore cartilagineux, peut se faire au moyen de ciseaux tranchants et n'occa­sionne pratiquement pas d'hémorragie. Les oiseaux plus âgés ne doivent pas être amputés pendant la mue ; pour cette opération, il convient de s’en remettre à un vétérinaire.

    On peut aussi couper les extrémités des rémiges primaires d'une aile. Ce moyen, à appliquer tant que la mue n'est pas terminée, est efficace, mais assez dange­reux, car on oublie facilement de le répéter chaque année au risque de perdre des oiseaux.

     

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    sarcelle hiver

    Sarcelle d'hiver

     

     



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    L’HABITAT DES AQUATIQUES D’ORNEMENT

     

    L'eau douce pour nager el boire est indis­pensable aux oiseaux aquatiques d'ornement ; que ce soit de l'eau de canalisation qui se mélange lentement à l'eau de pluie ou bien l'eau d'une rivière, d'un ruisseau, d'un étang ou d'un lac, amenée à leur lieu de séjour, n'a que peu d'importance.

    Cette eau doit, évidemment, être aussi pure que possible et ne pas contenir de déchets industriels ; pour les cygnes elle doit avoir au moins 1 m de profondeur, les oies et les canards se contentent de 40 cm.

    Le passage subit de l'eau naturelle à l'eau de canalisation et vice versa n'a pas de mauvaises conséquences pour la santé ; les oiseaux aqua­tiques d'ornement sains supportent aussi faci­lement de grands changements de tempé­rature, grâce à leur couche de graisse protec­trice.

    Nombreux sont encore ceux qui s'imagi­nent que les oiseaux aquatiques d'ornement doivent disposer d'une grande étendue d'eau ; rien de plus faux. Premièrement, un oiseau aquatique vit souvent dans la nature, sur un terrain très limité où il est obligé de pourvoir lui‑même à sa subsistance ; deuxièmement, la pratique a démontré qu'on peut obtenir d'excellents résultats d'élevage sur des surfaces relativement restreintes, à condition de fournir aux oiseaux de la nourriture variée.

    Une nappe d'eau de 16 m2, entourée de quelques mètres de pelouse et/ou d'un taillis suffit à un couple de cygnes. Les oies et les canards se contentent de moins encore mais, comme toutes les espèces d'oies broutent, la superficie de l'herbage importe plus que celle de l'eau. Un petit bassin suffit à un couple de canards d'ornement.

    Les oiseaux aquatiques d'ornement n'ont pas besoin d'abris coûteux pour la nuit ; de même qu'à l'état sauvage, ils préfèrent passer la nuit sur l'eau que sur la terre où d'innombra­bles ennemis les guettent. Par gel rigoureux et prolongé, ils doivent pouvoir disposer tous les jours d'eau dépourvue de glace, afin d'entre­tenir leur plumage en bon état. En toute cir­constance, la glande sécrétant la graisse doit fonctionner.

    Plus le plan d'eau et son entourage sont vastes, plus grand est le nombre d'espèces d'aquatiques pouvant y vivre, A l'approche de la maturité sexuelle, chaque espèce a cependant besoin de sa propre zone de nidification, que le futur couple défendra âprement. A défaut de possibilités de s'isoler, des combats seront livrés, qui peuvent avoir des consé­quences mortelles. Surtout parmi les oiseaux de la même espèce, la rivalité est souvent acharnée ; bien des fois les cygnes n'impor­tunent pas les canards, mais poursuivent les oies. Les canards sont plus accomodants entre eux que les oies ; celles‑ci, une fois adultes, peuvent se combattre violemment au printemps. Le seul moyen efficace est d'ins­taller des grillages pour séparer les couples ; pour des oiseaux convenablement éjointés, un mètre de hauteur suffit.

    Les bassins artificiels en béton ou en caoutchouc synthétique ne doivent pas avoir de rebords trop abrupts ni coupants car, par temps sec, quand le niveau de l'eau baisse, les poussins et même les oiseaux adultes ne pourront pas franchir cet obstacle. Chaque oiseau aquatique, bien qu'il séjourne volontiers dans son élément naturel, veut de temps en temps quitter l'eau pour s'ébrouer, vagabonder dans l'herbe ou s'étendre au soleiL

     C'est pourquoi les oiseaux aquatiques d'ornement doivent pouvoir disposer, à côté d'un plan d'eau, d'un lopin de terre ferme, autant que possible planté d'herbe, de roseaux, d'iris et de jeunes arbres. Cette végé­tation les protègera du soleil trop violent en été, des averses, et du vent glacial en automne et en hiver. Cette bande de terre peut aussi servir aux oiseaux de lieu de nidification.

    En général, les oiseaux aquatiques d'ornement ne détruisent ni les plantes, ni les fleurs ; ils leur sont, au contraire, utiles, car il dévorent les hannetons, les larves, les limaces, les moustiques et les mouches. Bien que les oiseaux aquatiques d'ornement s'attachent énormément à leur entourage et se rappellent exactement l'endroit fixe de leur nourrissage, leur instinct naturel les pousse souvent à se déplacer vers d'autres réservoirs d'eau. Pour les en empêcher, on peut entourer leur terrain d'un grillage en accordéon. Lorsque les oiseaux ne sont pas pourchassés et ne se livrent pas querelle, ils peuvent, surtout les cygnes, bénéficier d'une complète liberté après avoir bien appris à connaître le milieu ambiant.

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    Cygne noir

     

    CAPTURE ET MISE EN PLACE

    DES AQUATIQUES D’ORNEMENT

     

    Les oiseaux d'ornement se défendent violemment lorsqu'on veut les capturer. Ils s'efforcent de toutes les manières possibles d'esquiver le filet, les mains ou le crochet ; Il faut retenir que même les canards non plongeurs sont capa­bles de rester longtemps sous l'eau, quand ils sont poursuivis.

    La capture des oies et des canards se fait le plus facilement à l'aide d'un filet en corde ; les cygnes doivent être acculés dans un coin et ensuite, prudemment, attirés par derrière, au moyen d'un bâton muni d'un crochet. Il faut accrocher le cou à sa partie la plus basse, près du tronc. Sur terre, on peut facilement acculer les cygnes, de même que les flamants, dans un coin et les saisir avec les mains.

    Il faut toujours saisir les oiseaux aqua­tiques d'omernent par le tronc et ne jamais les prendre, ni les porter par les pattes, les ailes, le cou ou la tête, sous peine qu’ils se blessent gravement ou même qu’ils se tuent.

    La mise en place dans un nouvel envi­ronnement doit toujours se faire avec pru­dence. Il faut poser les oiseaux sur leurs pattes et les lâcher. Plus le comportement envers les bêtes est tranquille, plus elles de­viennent confiantes et plus il est facile de les capturer en cas de besoin.

    NOURRITURE

    Les oiseaux aquatiques d'ornement prospèrent en captivité, s'ils sont nourris de granulés et d'un mélange de grains de fro­ment d'orge et de maïs, auquel on peut ajouter des petits morceaux de pain rassis. Comme leur bec n'est pas fait pour picorer le grain, il est préférable de servir ce dernier dans un récipient rempli d'eau. La quantité dépend des circonstances dans lesquelles vi­vent les oiseaux, et laissée au libre arbitre de l’éleveur.

    En plus des granulés et du grain, le menu des oiseaux aquatiques d'ornement comporte de l'herbe courte, des plantes aqua­tiques, des algues, des coquillages, des crevettes séchées, du chou frisé haché, de la salade, de la chicorée frisée et des carottes hachées.

    Le pain moisi, les pommes de terre, la viande et toutes les sucreries sont formelle­ment interdits !

    Ne pouvant plus voler et de ce fait employant moins leurs muscles, les palmi­pèdes d'ornement souffrent souvent d'un excès d'embonpoint, s'ils reçoivent trop de grain, trop peu de verdure et si le plan d'eau dont ils disposent est restreint. Les oiseaux gras, trop paresseux pour s’activer, sont de mauvais reproducteurs. Les aliments verts sont certainement aussi importants que le grain, même si ce dernier est généralement plus facile à utiliser.

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