• Canard siffleur 3

     

    SIGNES DISTINCTIFS

    Bec très court, bleuté, onglet terminal noir.

    Tête roux vif, large bande blanche ou crème allant du front à la nuque.

    Miroir : vert encadré de blanc et de noir.

    Poitrine : lie de vin.

       Ailes : pointues, très longues dépassant la queue quand elles sont repliées.

    Pattes : grises.

    Queue : sous‑caudales noires.

    Ce bel oiseau fait son apparition dans notre pays dès le mois de septembre, mais le gros de la troupe ne passe qu'en novem­bre.

    La migration de retour débute vers le 15 février pour se terminer, en règle générale, aux environs du 15 mars, bien qu'il puisse passer encore quelques attardés jusqu'à la fin d'avril. Le siffleur accompagne souvent le pilet dans ses déplacements. La nidification a lieu, comme pour la plupart de nos visiteurs, avec un décalage d'envi­ron six semaines sur celle du Colvert, c'est‑à‑dire du début mai à la fin juin. Le siffleur niche en Ecosse, mais surtout en Scandinavie et dans les marais de Sibérie.

    Son alimentation est essentiellement végétale et elle se compose tout particuliè­rement de zostères marins ; cette particu­larité témoigne des graves difficultés qu'il a en commun (bien qu'à une moindre échelle) avec la Bernache cravant : la ma­ladie cryptogamique des zostères le prive de son plat préféré et même de la base de son alimentation. Malgré la ponctualité dont il fait preuve dans ses migrations, il reste très instable et irrégulier aussi bien dans ses déplacements que dans son compor­tement. Il peut rester inaperçu pendant plu­sieurs années pour revenir en force brus­quement.

     

    Canard siffleur 4

    photos : de la poule à l'autruche

     


    votre commentaire
  • Lynx 2

     

    L’ALIMENTATION RATIONNELLE DU LAPIN

    DANS LES PETITS ELEVAGES

    Ce mode d'élevage, généralement prati­qué dans des conditions d'alimentation anarchiques, présente l'inconvénient d'être presque toujours sous‑protéiné, ou se pré­sente en dents de scie dans ce secteur capital de l'alimentation, génératrices de nombreux accidents intestinaux, d'où une croissance plus lente des lapereaux, un rendement viande moins élevé, tandis que les mères se carencent si l'on n'observe pas l'équilibre des distributions et les sup­plémentations citées plus haut.

    Nous recommandons, puisqu'il s'agit d'un travail fait à temps perdu, de ne pas entre­prendre trop, de manière à exécuter bien ; il est, en effet, préférable d'assurer le confort, la propreté, la bonne nutrition, par une ali­mentation distribuée en quantité suffisante, à des heures possibles et régulières dans un clapier de volume limité, mais dont on ne perdra jamais le contrôle, parce que le travail indispensable à son entretien restera faisable, sans être fastidieux. A cette con­dition, mais à cette condition seulement, l'élevage familial demeurera une occupation lucrative et agréable.

    A ces éleveurs, nous proposons un ré­gime alimentaire mixte, permettant d'assu­rer une bonne productivité et un rythme de croissance donnant au moment de l'abat­tage, un phénotype correspondant aux nor­mes des qualités exigées. Cette alimenta­tion sera saisonnière.

    Nous suggérons, pour la période d'hiver, la formule suivante : orge 40 g. ; avoine 40 g. ; maïs 30 g. ; blé 20 g. ; ce qui donnera, pour 130 g. de graines : 8,3 g. de protéines pour 140 g. de luzerne sèche : 22 g. envi­ron de protéines, une alimentation conte­nant théoriquement 12% de protéines assi­milables, ration suffisante pour des mâles ou des femelles au repos, mais il apparaît clairement que nous devons l'enrichir pour les femelles gestantes, les nourrices et les lapereaux en croissance. Nous proposons d'ajouter, en les incluant proportionnelle­ment, 50 g. de granulés intensifs, à partir du quatrième jour de gestation, en obser­vant le tableau de marche suivant :

    ‑ 4ème jour de gestation : graines + luzerne + 10 g. de granulés intensifs,

    ‑ 10ème jour de gestation : graines + luzerne + 20 g. de granulés intensifs,

    ‑ 20ème jour de gestation : graines + luzerne + 30 g. de granulés intensifs,

    ‑ 25ème jour de gestation : graines + luzerne + 40 g. de granulés intensifs,

    ‑ 27ème jour de gestation et jusqu'au 4ème jour après la mise‑bas : graines + luzerne + 10 g. de granulés intensifs,

    ‑ à partir du 4ème jour suivant la mise‑bas : graines + luzerne + 30 g. de granulés inten­sifs, en augmentant jusqu'à 50 g. au 10ème jour, ensuite, il faut maintenir les propor­tions du mélange, mais en augmenter la quantité, proportionnellement aux besoins de la mère et de la nichée, ceci jusqu'au sevrage qui aura lieu au 40ème jour des lapereaux. A partir de ce moment‑là, la mère sera mise à une alimentation de re­pos, pendant deux jours, présentée au mâle le 42ème jour, laissée à l'alimentation de repos, jusqu'au moment où elle sera saillie, et l'on recommencera le cycle, comme indi­qué plus haut.

    En ce qui concerne les lapereaux, la pro­portion d'aliment intensif ajouté sera aug­mentée, jusqu'à atteindre 80 g. pour 130 g. du mélange de graines, la distribution de luzerne augmentera dans les mêmes proportions. Dans le cas où l'éleveur ne disposerait pas de luzerne, mais simplement d'un foin de prairie ou même de paille, la quantité de granulés intensifs devrait être de 60 g. comme ration de base pour une augmenta­tion identique à celle précitée. En été, ou plutôt dès le printemps, la luzerne verte remplacera peu à peu, mais très progressi­vement, la luzerne sèche jusqu'à en distri­buer 200 g. en même temps que du foin de prairie ou de la paille à volonté, les propor­tions de graines et de granulés restant les mêmes que dans le cas de distribution d'hi­ver. Il va sans dire que tous les change­ments de rationnement seront très progres­sifs, particulièrement quand il s'agira d'une augmentation des quantités de granulés, et surtout lorsque l'on passera de la luzerne sèche à la luzerne verte.

    Dans tous les cas, la valeur des aliments sera améliorée par une distribution simulta­née et quotidienne de minéraux et vitami­nes. L'eau claire doit être toujours à la dis­position des lapins, car elle constitue un des éléments essentiels de sa nutrition. En ce qui concerne la luzerne, nous recom­mandons de la faire sécher autant que pos­sible à l'ombre, ou dans les meilleures con­ditions, de façon que les feuilles restent ver­tes bien que déshydratées naturellement. Dans la période d'hiver, une distribution de carottes fourragères (100 g. environ par sujet et par jour) suppléerait avec bonheur à la disparition progressive des vitamines que contient la luzerne verte.

     

    Japonais 3

     


    votre commentaire
  • Cravate d'Aix la Chapelle

     

    CONSEILS PRATIQUES AUX COLOMBICULTEURS

     

    ‑ Il est préférable que les débutants aient une idée assez précise de la race avec la­quelle ils aimeraient commencer.

    ‑ La conception ou l'aménagement des volières doit dépendre de ce choix, c'est-à-dire être fonction des caractéristiques et du tempérament des pigeons.

    Toujours s'assurer que le pigeonnier est convenablement éclairé et aéré, et que le cas échéant, les ouvertures puissent être réglées pour assurer le confort des oiseaux.

    ‑ Lors de la construction ou de l'aména­gement du colombier, faire le nécessaire pour que les rats et les sauvagines ne puis­sent jamais pénétrer dans le local d’élevage.

    ‑ Déterminer à l'avance, la nature de la litière qui sera utilisée, et faire en sorte que l'approvisionnement soit facile.

    ‑ Les locaux d'élevage doivent toujours être fin prêts avant que soient introduits les premiers habitants. Cela évite d'avoir à ef­frayer inutilement les nouveaux venus.

    ‑ Ne jamais acheter des reproducteurs pour leur prix avantageux, mais opter avant tout pour la meilleure qualité possible. Ceci est d'une importance capitale.

    ‑ Il est indispensable de se renseigner le mieux possible sur les techniques d'éle­vage, mais c'est surtout en pratiquant que l'on acquière de solides connaissances.

    ‑ Il est assez normal qu'avec de jeunes reproducteurs, la première et même la deuxième couvée soient infertiles.

    ‑ Il ne faut pas s'attendre à ce que tous les jeunes issus d'un couple de valeur, soient de la même qualité que leurs pa­rents,

    ‑ Dans le cas où aucun des jeunes n'est d'une qualité supérieure à celle de ses pa­rents, il convient de refaire les accouplements ou de se procurer de nouveaux su­jets de qualité, si bien sûr on désire pro­gresser.

    ‑ Plutôt que de rechercher sans cesse ici et là, des sujets améliorateurs, il est tou­jours préférable de créer sa propre souche, ce qui évite bien des surpises désagréa­bles, aussi bien dans le domaine de la qua­lité que sur la plan sanitaire.

    ‑ Adhérer à une association active dans le but d'enrichir vos connaissances et d'échanger de saines idées et de bons pi­geons.

    ‑ Ne présenter dans les expositions que les produits de son propre élevage pour pouvoir être content et fier de son travail, lorsqu'ils feront l'admiration des autres éle­veurs.

    ‑ Ne faire participer à des concours, que des sujets qui auront été préparés pour cela, si l'on veut qu'ils partent à égalité de chance avec les autres concurrents.

    ‑ Adopter un comportement sportif dans les expositions. Ouvrir ses yeux et ses oreilles, et s'efforcer de ne retenir que ce qu'il y a de mieux.

    ‑ En toutes circonstances, c'est à dire dans votre élevage, dans celui de vos amis, ou dans les expositions, ne pas hésiter à prendre des notes.

    ‑ Dans la mesure du possible, visiter d'au­tres élevages, et comparer les méthodes et la qualité des oiseaux. En tirer les ensei­gnements qui s'imposent.

    ‑ Quand on n'a pas la possibilité de choi­sir soi-même les animaux que l'on désire se procurer, préciser les qualités que l'on re­cherche en priorité, et éventuellement les défauts que l'on peut accepter, de façon à être aussi bien servi que possible par le fournisseur si bien sûr ce dernier est de bonne foi.

    Pour acheter, il vaut beaucoup mieux se rendre chez l'éleveur qui vous fait des of­fres. Dans la grande majorité des cas cela permet d'éviter bien des malentendus.

    Éliminer d'emblée les fournisseurs qui parlent plus volontiers des prix que de la qualité. Se souvenir qu'une publicité tapa­geuse n'est pas une garantie quant à la qualité des pigeons proposés.

       Ne jamais oublier que vos pigeons dé­pendent entièrement de vous. Dites-vous bien que rien ni personne d'autre que vous n'est responsable des satisfactions ou des déconvenues que vous pourrez connaître avec eux. Si vous êtes un colombiculteur attentionné, soyez assuré que vos pigeons vous rendront au centuple ce que vous leur aurez donné, et vous apporteront une joie que vous ne soupçonnez peut-être pas.

     

    Sottobanca

     


    votre commentaire
  • Canard-Cayuga.jpg

     

    LA CONDUITE DU PETIT ELEVAGE

    Le petit élevage que l'on appelle parfois l'éle­vage familial (ce qui peut le faire confondre avec l'élevage professionnel artisanal), se situe en majorité dans les banlieues des villes où il occupe une partie du jardin des villas, pavillons ou modestes maisonnettes. On en trouve éga­lement dans les villes-mêmes, lorsque l'habita­tion est dotée d'un jardin. Il est encore fréquent dans les cités ouvrières et nos dépar­tements du Nord, les anciennes régions minières notam­ment, appréciant le vivant décor qu'apporte la petit élevage dans un paysage parfois ingrat.

    Il n’y a guère de type précis de petit élevage et il offre, dans sa composition, une grande variété suivant les goûts, les préférences ou les besoins de chacun.

    Le plus souvent, il est constitué par des pou­les et des lapins. Le cheptel de pondeuses va généralement de 6 à 12, quelquefois un peu plus. Le clapier comporte de 3 à 6 cases afin de loger une ou deux lapines et leur descen­dance, et souvent un mâle.

    A ce cheptel "de base" dirons‑nous, les uns ajoutent quelques palmipèdes, soit 2 à 4 canes et un canard, soit quelques oies, soit les uns et les autres.

    A ces sympathiques animaux de basse‑cour s'ajoutent parfois des pigeons, en volière ou en liberté.

    Voilà, à peu près, la "matière" du petit éle­vage. Comment cette matière vit‑elle ?

    Trop souvent, dans une promiscuité des es­pèces qui porte préjudice à chacune.

    Lorsque le petit élevage ne comprend que poules et lapins, encore que l'on voie parfois le poil en liberté se balader parmi les plumes, on peut considérer qu'en général les deux espè­ces font chambre à part et chacune se trouve bien de son chez‑soi. L'hygiène et la propreté y trouvent alors leur compte et la conduite de l'élevage en est grandement facilitée à moin­dres risques.

    Mais il en va tout autrement avec l'intrusion des palmipèdes dans le petit élevage. Parfois, lorsque la place ne fait pas défaut, on se rend compte qu'il est préférable d'établir deux parquets séparés, l'un pour les poules, l'autre à l'usage des palmipèdes. Mais, malheureuse­ment, c'est plutôt là l'exception et, trop sou­vent, la cohabitation des deux espèces leur est imposée.

    Comme les canards, voire les oies, ont des déjections réitérées et abondantes, le parquet commun devient vite malsain pour les poules et lorsqu'il n'y a qu'un dortoir omnibus. Ces dernières dormant sur leurs perchoirs ne se privent guère de se venger, la nuit, en "crottant" sur les canards sommeillant au rez‑de‑chaussée, de les avoir fait patauger tout le jour dans leurs immondices. Et de part et d'autre, on en souf­fre.

    Voici donc un premier principe concernant la conduite du petit élevage : pour prospérer, cha­que espèce de la basse-cour doit être élevée en particulier et non en commun. Si vous n'avez pas assez de place, ou pas les moyens de plusieurs constructions et parquets, renoncez à élever ensemble des espèces différentes. Mieux vaut n'avoir que des poules produi­sant bien et ne donnant pas de soucis de maladies, que d'élever conjointement poules, canards et oies qui se gênent et se nuisent mutuellement.

    Car, outre la question d'hygiène que nous venons d’évoquer, il y a le problème alimentaire. Vivant en­semble, vous n'empêcherez pas les poules de picorer la pâtée des canards, ni les canards de goûter à celle des poules. Or, l'alimentation est différente pour les deux espèces et si chacune participe à l'alimentation de l'autre, vous ne savez plus où vous en êtes au point de vue nourriture.

    De même, on voit parfois dans un jardin, une grande volière fermée qui abrite ensemble pou­les et pigeons. Cette "combinaison" est moins préjudiciable à l'hygiène, mais tout autant à l'ali­mentation et à la cohabitation proprement dite.

    Concluons en disant, à propos des divers hôtes de votre petit élevage : "chacun chez soi, santé pour tous et satisfaction pour l’éleveur". 

     Dinde blanche 


    votre commentaire
  • Gloster-groupe.jpg

     

    Canaris Gloster Consort à gauche, et Gloster Corona à droite. (photo Bridgebird)

     

    LES VITAMINES DANS LA PRATIQUE

    Notre intention est de donner ici, les renseignements essentiels concernant les vitamines, leurs sources, leurs rôles. Même exposée succincte­ment, cette question reste très complexe pour des personnes non prévenues et nous voulons les mettre en garde contre certaines idées absolument fausses très répandues, et aussi leur donner quelques indications nécessaires pour éviter des erreurs involontaires mais néfastes.

     IDÉES FAUSSES :

    Les fruits assurent les besoins en vitamine des oiseaux.

    C'est absolument faux ; ils contiennent surtout de la vitamine C dont les oiseaux n'ont pas besoin et certaines vitamines : B6, K, mais c'est tout.

    Certains traitements détruisent les vitamines.

    C'est également faux ; les antibiotiques arrêtent le développement des microbes intestinaux producteurs de certaines vitamines (K, PP, Biotine Acide Folique), mais ces traitements ne détruisent pas ces vitamines ; si l'alimentation en contient il n'y a aucun risque. Il en est de même des sulfa­mides et de divers anti‑infectieux. Toutefois la poudre de charbon peut fixer certaines vitamines et les rendre inactives.

    Des vitamines trop anciennes sont nocives.

    C'est faux, car si avec le temps, certaines vitamines se détruisent, elles ne deviennent pas toxiques. Le produit est moins actif, c'est tout. C'est la vitamine A qui subit le plus de pertes (en général, 10 à 15 % en un an en solution concentrée, mais jusqu'à 50 % en 2 mois, si elle est mélangée dans une farine ou dans des mélanges de minéraux). Les pertes sont ralenties quand le produit est conservé au froid.

    L'huile de foie de morue est la meilleure pou un apport en vitamines.

    Elle n'apporte que les vitamines A et D3, mais en même temps elle peut contenir des matières grasses nocives ayant un rôle d'antivitamine E et une action toxique. C'était autrefois la seule source de vitamines A et D, elle est restée longtemps la plus économique, mais cela n'est plus vrai maintenant.

    Les vitamines naturelles sont préférables.

    Cela n’est pas prouvé car les vitamines pures obtenues par synthèse sont identi­ques aux naturelles ; ces dernières sont contenues dans des aliments dont la teneur est variable ; en outre, elles ne sont pas toujours stables. De plus l'utilisation des vitamines suppose une bonne digestion ; les vitamines pures sont plus facilement assimilables, surtout par des oiseaux malades. La vitamine A naturelle (carotè­ne) est bien moins active que la vitamine A pure.

     QUELQUES PRÉCAUTIONS A PRENDRE DANS L'EMPLOI DES VITAMI­NES

     1‑ N'employez pas de biscuits vitaminés, de produits minéraux vitaminés, car beaucoup de vitamines sont détruites par la chaleur et les minéraux, ou plus exactement, si vous les employez, comptez pour nulle leur teneur en vitamines.

    2‑ Donnez des vitamines régulièrement ; une à deux fois par semaine est un bon rythme. Certaines vitamines (A, D) pourraient être données une à deux fois par mois, car elles sont stockées dans le foie, mais ce n'est pas vrai pour toutes les vitamines.

    3‑ Conservez les flacons de vitamines au frais (réfrigérateur si possible en été) et pas plus de 6 mois une fois entamés. A la longue, certaines vitamines peuvent se détruire partiellement ; elles ne deviennent pas nocives, mais le produit est moins actif ; vous pouvez y remédier en augmentant les doses de 10 à 20 %.

    4‑ Evitez le soleil direct sur les abreuvoirs contenant l'eau additionnée de vitamines et dans tous les cas, ne gardez pas cette eau plus de 24 heures ; après ce délai, de nombreuses vitamines seront détruites. Si le traitement doit durer plusieurs jours, faites chaque jour le mélange des vitamines à l'eau.

    5‑ En cas de maladie, de diminution d’appétit,  donnez les vitamines plus souvent ou en plus fortes doses, car les besoins sont accrus, et si l'oiseau mange moins, il absorbe moins des vitamines contenues dans ses aliments.

    6 ‑N'employez pas une ou deux vitamines comme la B6 ou la B12 ou d'autres en général prises au hasard. Utilisez de préférence un produit polyvi­taminé équilibré, car un excès d'une vitamine B peut, par déséquilibre, équivaloir à une carence de certaines autres vitamines B (carence par déséquili­bre).

       


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires