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    PRINCIPES GENERAUX D’ALIMENTATION

     

    Tout organisme vivant requière une quantité déterminée d'aliments, que nous appellerons "ration", laquelle doit contenir les principes immédiatement assimilables, nécessaires à la vie de l'animal, quelle que soit sa destination. On peut définir la ration comme suit :

    ‑ La ration doit procurer à l'organisme l'éner­gie nécessaire pour son entretien, et pour qu'il puisse fournir la production désirée. Tout organisme qui travaille, consomme, et la ration se doit de compenser les pertes.

    ‑ La ration doit avoir une valeur proportion­nelle à la production attendue. Tout aliment est composé de substances organiques, de matières minérales et d'eau. Les matières organiques sont entre autres, les protéines, les hydrates de carbone et les graisses. Parmi les minéraux, nous trouvons le calcium, le phosphore, le potassium, le fer, etc...

    ‑ La ration doit contenir une quantité suffi­sante de matières minérales, plus importante durant la ponte, la croissance et la mue.

    - La ration doit comprendre une certaine proportion de matières sèches et le moins possible d'eau, étant donné que celle‑ci se trouve à discrétion dans les abreuvoirs.

     

    COMPOSITION DES ALIMENTS

    Quelqu'un a dit très justement : « Dans ce monde, rien ne se crée, rien ne se perd, tout se trans­forme ».

    Les végétaux trouvent dans l'air , dans l'eau et dans les minéraux, tous les éléments nécessaires à leur constitution. De nombreux animaux se nourrissent de végétaux, de telle sorte que la matière première est produite grâce à l'atmosphère et à la matière minérale.

     

    QUELQUES DEFINITIONS

    Les principes nutritifs sont les élé­ments que l'organisme peut utiliser pour le développement et l'entretien des tissus, et pour la production d'une certaine quantité d'énergie. Ces principes sont :

    1 ‑ Les principes inorganiques : a) L'eau ; b) Les matières minérales.

    2 ‑ Les principes organiques : a) Les ma­tières azotées ; b) Les matières hydrocarbo­nées,  les matières grasses et la cellulose.

    Définition de l'aliment : l'aliment est une substance qui contient des principes nutritifs et qui peut être ingéré sans danger par un animal.

    Qu'est‑ce que la ration ? La ration est l'ensemble des aliments que le sujet consom­me en 24 heures. Elle est composée de divers produits alimentaires.

     

    PRINCIPES INORGANIQUES:

    L'eau : elle se trouve normalement dans tous les aliments, et les matières sèches en contiennent généralement 10% ou un peu plus. La verdure et les tubercules entre 70 et 90 %.

    Les matières minérales : les résidus de combustion des végétaux sont les minéraux. Ils possèdent en aviculture, une importance capitale, car si la ration en manque, des désordres graves apparaissent.

     

    PRINCIPES ORGANIQUES:

    Les aliments contiennent des principes organiques qui sont les matières azotées, non azotées et les graisses. On les désigne habituellement dans les tables de composi­tion des aliments, de la façon suivante :

    ‑ Les matières azotées, appelées aussi albu­minoïdes ou protéines. ‑ Les matières grasses.



    ‑ Les matières hydrocarbonées.

    Matières azotées : les albuminoïdes ou protéines contiennent quatre éléments simples : le carbone, l'hydrogène, l'oxygène et l'azote. Leur teneur en azote pur est variable et ne dépasse pas habituellement 16,25 %. Pour calculer la valeur protéique d'un aliment on multiplie le poids d’azote pur par 6,25.

    Hydrates de carbone : ils se divisent en trois classes :

    1) Les extractifs, qui sont notamment les amidons qui existent dans les tubercules, les graines, la verdure, etc... et le sucre de bette­raves, de fruits, etc.

    2) Les corps gras qui favorisent la forma­tion de la chair, se trouvent dans toutes les plantes, mais plus particulièrement dans les graines oléagineuses. Ils sont totalement assimilables et produisent deux fois plus de calories que les autres principes nutritifs.

    3) La cellulose qui ne possède pratiquement aucune valeur alimentaire pour les volailles ; elle est seulement utilisée comme aliment de volume.

     

    LA DIGESTION

    Nous distinguons :

    - La digestion buccale qui apparaît peu importante chez les oiseaux car les aliments gagnent directement le jabot.

    ‑ La digestion stomacale qui commence dans le ventricule succenturié où les susbtances alimentaires s'imprègnent de suc gastrique et passent ensuite dans le gésier qui les broie.

    ‑ La digestion intestinale. A leur arrivée dans l'intestin, le bol alimentaire subit l'attaque des sucs intestinaux, puis est absorbé par les villosités qui tapissent la paroi intérieure de l'intestin grêle.

     

     

    LA DIGESTIBILITE

    La digestibilité d'un aliment est la propriété qu'il possède d'être utilisé plus ou moins bien par l'organisme.

    Elle dépend de la teneur en différents principes nutritifs de l'aliment.

    En résumé, la digestibilité «un aliment est influencée par :

    ‑ la nature des aliments (concentrés, four­rages, etc ... ) ;

    ‑ l'individu lui‑même (âge, race, état de santé, etc...) ;

    ‑ la préparation des pâtées (mouture, etc...)

    ‑ les proportions de chacun des principes nutritifs ;

    - les dépenses «énergie.

     

    SUBSTITUTIONS

    Il est nécessaire de considérer que les rations doivent être constituées d'aliments variés, car elles sont meilleures lorsqu'elles comprennent une grande variété de substances, pourvu que les quantités de protéines, de matières grasses, d'hydrates de carbone, de cellulose, de vitamines... soient proportionnelles aux besoins des volailles.

     

    METHODES D’ALIMENTATION

    D'une manière générale, on ne doit retenir que la méthode de l'aliment sec. On utilisera la pâtée humide, seulement dans certains cas, ou à une époque déterminée, pour la production des poulets au lait par exemple, ou pendant la mue.

     

    HYGIENE DE L’ALIMENTATION

    On doit observer les règles suivantes ‑ Employer des aliments de qualité, notamment qu'il s'agit de produits sains.

    - N'employer que des mangeoires, des abreu­voirs, ou tout autre petit matériel bien adaptés et qui soient faciles à nettoyer.

     Au cas où les poules auraient laissé de la pâtée humide dans les mangeoires, la retirer immédiatement car elle risque de fermenter.

    -           Substituer graduellement les aliments car un changement brusque de nourriture diminue la ponte et retarde la croissance.

    -           La meilleure boisson est l’eau potable.

    ‑ Eviter que les chiens, les chats et les rats puissent s'approcher des mangeoires et des abreuvoirs.

    ‑ S'abstenir de créer toutes sortes de pertur­bations dans le poulailler.

     

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    CE QUI PEUT INFLUENCER LA PONTE

     

    L'influence de l'alimentation

    Pour autant qu'elle en soit génétique­ment capable, une poule ne peut fournir un nombre important d'oeufs que si elle reçoit en permanence une ration alimentaire équi­librée, avec notamment un taux de protéines de qualité de l'ordre de 16%, et un apport suffisant en vitamines et minéraux.

     

    Une perturbation

    La perturbation qui provient d'un trau­matisme, c'est‑à‑dire une lésion interne ou externe provoquée par la violence, l'effroi ou le déplacement des volailles, le changement d'habitat, cause un arrêt de ponte.

    Le fonctionnement de l'ovaire est entra­vé par ces incidents. Il suffit qu'un chien inconnu passe à travers un troupeau de pon­deuses qui s'affolent, pour que la ponte tombe de 50 % dans la semaine ; les poules les premières affectées sont celles qui ont pondu ce même jour.

    L'accès des poulaillers doit être défen­du à toute personne étrangère au service. Toute personne qui approche les poules doit être éduquée, formée au travail particulier de l'entretien des bâtiments et du matériel d'élevage, et avoir un caractère doux.

     

                   L'envie de couver

    La pondeuse se repose après avoir donné une série d'oeufs ; son instinct peut la pousser à couver. Nous avons remarqué que les meilleures pondeuses d'hiver sont les couveuses, celles qui persistent à rester sur le nid, leur dernier oeuf pondu, la série étant épuisée.

    Il s'agit pour l'aviculteur de s'en rendre compte et d'employer les moyens ordinaires pour découver la poule, moyens qui, encore une fois, ne sont pas ceux que la tradition nous a légués, c'est‑à‑dire d'enfermer la poule dans un endroit obscur et sale, privée de nourriture. Il faut, au contraire, l'enfermer dans une cage (il serait préférable de pouvoir la lâcher dans un bon parquet bien ensoleillé où elle ne trouverait pas de nid pour se cloîtrer) munie d'un plancher à claire‑voie et exciter son appétit par des friandises, des verdures succulentes. Beaucoup de ces cou­veuses recommenceront leur ponte avant la quinzaine, et ne subiront pas une mue partielle qui marque, d'ordinaire, un arrêt de ponte.

    Veillez à la propreté de la cage, car les déjections appellent la vermine, et les poules couveuses sont souvent particulièrement infestées en peu de temps à cause de leur immobilité.

     

          Les parasites et les maladies

    Nous avons déjà étudié les facteurs nombreux qui concourent à créer une consti­tution vigoureuse, une puissance fonction­nelle normale. Il ne faut faire aucun effort d'imagination pour comprendre les ravages qui seront occasionnés par les parasites internes et externes, les maladies telles que : le coryza, la coccidiose, la typhose... qui, toutes, s'attaquent à la vitalité de l'oiseau. Il est donc impérieux d'écarter ces fléaux de l'élevage par tous les moyens que l'art thérapeutique inspirera.

    Des poulettes qui auront souffert d'une attaque de coccidiose, n'atteignent pas la moyenne de ponte d'hiver : les poulaillers où le coryza sévit en permanence à cause de leur mauvaise ventilation, absence de lu­mière, infection du parquet par une litière malodorante et humide.... ces maisons de ponte n'hébergeront jamais avec succès des pondeuses de qualité.

     

    Le jour

    La lumière solaire est indispensable à de nombreux êtres vivants et davantage à ceux auxquels on impose un travail physiologique intense.

    Il faudrait que les pondeuses puissent bénéficier d'exercices en plein air par tous les temps, à fortiori quand le soleil brille en hiver.

    Si l'organisation de l'élevage ne per­met pas de lâcher les poules dans un parquet extérieur, il serait souhaitable que l'éleveur installe au moins un solarium ; dans un hangar à front ouvert profond de cinq mètres au minimum, les pondeuses trou­veront un bain de sable, de la paille fraîche en abondance dans laquelle elles pourront gratter tout le jour, leur ration de verdure, beaucoup d'air frais ; elles se sentiront alors comme en serni‑liberté. A notre avis, le solarium est le complément indispensable au poulailler de claustration.

     

    L'humidité

    La litière humide affecte beaucoup la ponte, cause des ophtalmies et propage nombre de maladies. Remarquez l'allégresse dans le troupeau le jour d'une nouvelle distribution de litière bien fraîche.

    Le temps humide influence moins les sujets habitués à vagabonder dans un pré bien tondu où il n'y a pas de mares d'eau ni d’endroits boueux. L'oiseau en exercice au grand air ne souffre pas de ces conditions humides, il se défend bien, et il n'a pas froid aux pattes s'il n'est pas malade.

     

    Le logement

    Le confort est nécessaire à la pondeuse mais il ne faut pas tomber dans l'excès contraire, ne serait-ce que pour éviter des dépenses inutiles.

     

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    LE « SYMPTOME DIARRHEE »

    ET SA VALEUR DIAGNOSTIQUE

     

     Un diagnostic clinique demande, pour être établi, l'observation de tous les symptô­mes notables. Parmi ceux‑ci, la diarrhée est un de ceux qui frappe le plus l'éleveur, car, contrairement à d'autres, il a un caractère de permanence qui se prête à l'observation. Sur les planches à déjections des diarrhées anormales attirent le regard. Elles peuvent aussi souiller les plumes des volailles. D'autres symptômes, au contraire, sont bien plus fugitifs. Une poule semble prostrée au milieu des autres, mais que l'on effraie le groupe, elle reprend une allure normale et disparaît au milieu des troupes.

    Il est donc normal que l'aviculteur fasse attention au symptôme diarrhée. Il y est d'autant plus incité s'il possède un ouvrage de pathologie aviaire, qu'il y aura trouvé pour toutes les maladies dans la description des symptômes : les malades sont prostrés et présentent de la diarrhée... Reste l'aspect de la diarrhée, sa couleur. L'abus de la simplification trouvé dans certains ouvrages de vulgarisation a conduit l'éleveur à retenir le "topo" suivant:

    Chez le tout jeune poussin :           

    diarrhée blanche = pullorose.

    Chez les sujets plus âgés et adultes :

    diarrhée blanche = typhose ;

    diarrhée verte = choléra ;

    diarrhée jaune mousseuse = parasitisme ;

    diarrhée rouge = coccidiose.

    Or, une seule chose est vraie, la dernière ; toutes les autres sont sujettes à caution car elles n'ont aucun sens précis.

    Reprenons donc la question dans l’ordre.

     

     DIARRHEE BLANCHE DU POUSSIN (de 1 à 20 jours)

    Ne signifie absolument pas "pullorose" uniquement. C'est aussi un symptôme qui accompagne toute maladie infectieuse, tout désordre alimentaire. Pendant les dix premiers jours, la coccidiose caecale elle-­même peut la provoquer ; donc diarrhée chez le poussin signifie "maladie", mais c’est tout.

     

    DIARRHEE DES JEUNES ET DES ADULTES

    Diarrhée blanche : c'est évidemment un signe de typhose mais plus généralement d'entérite quelle qu'en soit la cause. C'est pourquoi la diarrhée blanche ou blanchâtre s'observe dans la plupart des maladies suraiguës.

    Diarrhée verte : la diarrhée verte, elle, accompagne en pratique toutes les maladies aiguës : à ce titre, on l'observe aussi bien dans la peste que dans la typhose et le choléra aigus.

    Il faut signaler à son propos l'observa­tion faite dans divers élevages sur des poules adultes : de temps à autre, un sujet isolé devient triste, cesse de pondre et se met à présenter une diarrhée vert épinard abondante qui aboutit à la mort en quelques jours. Aucune cause et aucun traitement satisfaisants n'ont pu être trouvés. Dans quelques cas, on a sauvé des malades avec de fortes doses de sels d'argent. Les cas restent rares et il n'y a jamais épidémie.

    Diarrhée jaune mousseuse : tous les éleveurs qui l'observent concluent : vers ou coccidiose chronique. Or, bien souvent, nous ne trouvons aucun parasite.

    Cette forme de diarrhée peut donc avoir plusieurs causes : le parasitisme en est réel­lement une, mais dans bien des cas le seul régime alimentaire en est reponsable.

    Devant cette diarrhée, il faut donc se garder de conclure trop vite et de se jeter sur le traitement que l'on croit approprié. En général, c'est là pur jeu de hasard, car on ne traite pas de la même façon vers et cocci­dies, et il est impossible sans autopsie de savoir s'il y a des vers, et sans examen microscopique s'il y a des coccidies.

    Il faudra ne pas s'arrêter à la présence de cette diarrhée et considérer les deux autres éléments du problème :

    ‑ l'aspect général des oiseaux : vivacité crête rouge. La ponte est‑elle constante ou en augmentation ?

    ‑ l'importance de cette diarrhée par rapport aux excréments totaux.

    Si les sujets sont en bon état et les diarrhées rares, il n'y a pratiquement pass à s'inquiéter, tout au plus à surveiller d'un peu plus près afin qu'une augmentation de la diarrhée ou un fléchissement de l'état géné­ral ne passent pas inaperçus.

    Si les diarrhées sont nombreuses et si l'état de santé laisse à désirer (sujets maigres, baisse de ponte, crête pâle), on devra suspecter d'abord le parasitisme et tâcher de déterminer sa nature pour appliquer le traitement voulu.

    Diarrhée rouge ou sanglante : cest la seule diarrhée vraiment caractéristique. Elle signe 99 fois sur 100 la coccidiose caecale aiguë, surtout entre quinze jours et quatre mois. Passé cet âge, elle peut être excep­tionnellement la conséquence d'une très grave entérite ou de maladies aiguës comme le choléra, la peste, etc... Moins exception­nellement, elle peut accompagner des cas graves de coccidiose intestinale.

    De la diarrhée hémorragique, il faut rapprocher ce que les éleveurs décrivent souvent sous les termes de « filets de sang », « morceaux de chair », «morceaux d'intestin », que l'on peut voir dans les excréments des adultes. Ce sont. en général, de petites masses homogènes de teinte corail sale. Il s'agit là encore de colorations banales et bien que quelquefois on y ait trouvé des coccidies, nous pensons qu'il est impossible de faire un rapport entre ces colorations et la coccidiose.

     

    AUTRES DIARRHEES

    Nous arrivons donc à la conclusion qu'il ne faut pas, en général, attribuer une signification précise à la couleur d'une diarrhée. Une poule qui consomme beau­coup d'herbe a des excréments verts et cela est normal. Dans des crottes normales, cette coloration, est atténuée par la présence des urates blancs mais, qu'il y ait un peu d'eau en plus, les excréments deviennent liquides et leur teinte se déve­loppe : une telle poule pourra ainsi faire une diarrhée verdâtre (sinon verte) sans avoir le choléra. La diarrhée simple étant la liquéfac­tion des excréments par présence d'un excès d'eau, on peut ainsi avoir des diarrhées diversement colorées, sous des influences alimentaires, sans qu'il y ait lieu de porter un diagnostic autre que celui de "diarrhée". Certaines baies peuvent noircir les excréments et même provoquer à elles seules des diarrhées si elles sont laxatives, ce qui est fréquent.

    D'autres aliments (comme le sorgho) peuvent donner des colorations rouges sans signification inquiétante.

     

    CONCLUSION

     

    A part la diarrhée hémorragique, il n'est pas de diarrhée caractéristique permettant à elle seule de poser un diagnostic. Les diarrhées et leurs couleurs constituent tout au plus un des éléments de ce diagnostic et nullement le plus important. C'est donc folie pour l'éleveur de vouloir en tirer des conclu­sions immédiates et en décluire le traitement à appliquer. Il faudra surtout tenir compte de l'état général et, s'il reste bon, rechercher la cause de la diarrhée dans l'alimentation et ne s'inquiéter que si les diarrhées sont abon­dantes et persistantes.

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    MIEUX CONNAITRE L’OEUF

    L’oeuf se compose de six parties principales :

    1) LA COQUILLE :

    Elle contient 92 à 97% de carbonate de calcium fourni par les glandes de la partie inférieure de l'oviducte, avec un léger pour­centage de phosphore et de magnésie.

    La coquille est poreuse et perforée par une infinité de petits orifices nécessaires aux échanges gazeux. C'est par eux que pénètre l'oxygène durant l’incubation, et qu'est expul­sé le gaz carbonique dû au développement de l'embryon.

    2) LA MEMBRANE COQUILLERE :

    Composée de cuticules et de fines lamelles bien jointes, la membrane coquillère appa­raît nettement lorsque l'on brise délicatement la coquille.

    3) LE BLANC OU ALBUMEN :

    C'est un liquide fluide et visqueux constitué principalement par de l'albumine.

    4) LE JAUNE OU VITELLUS :

    Il forme une masse sphérique en suspension dans le blanc et entouré d'une cuticule très fine appelée membrane vitelline. Il contient un ensemble de substances nobles nécessaires au développement de l’embryon.

    5) LES CHALAZES :

    Ils se présentent sous forme de cordons appartenant à la masse du blanc, de quelques millimètres d'épaisseur et retournés en spirales, les rendant plus solides et leur donnant une teinte opaque. Ils se forment durant le trajet du jaune dans l'oviducte. C'est la conséquence des mouvements gira­toires imposés au vitellus qui provoque successivement le retrait d'une petite quan­tité de blanc prenant petit à petit la forme d'un tire‑bouchon, s'épaississant chaque fois un peu plus.

    6) LE DISQUE GERMINAL OU BLASTODERME :

    Sur la surface du jaune, on remarque une tache ronde et blanchâtre de 2,5 à 3,5 mm de diamètre, appelé disque germinal qui existe même dans l'oeuf non fécondé et peut induire en erreur.

    LA FORMATION DE L’OEUF

    Elle commence par le centre et se ter­mine par la périphérie. Chacun des organes de reproduction de la poule a pour mission de former une partie bien définie de l'oeuf. L'ovaire garde jusqu’à maturité les ovules réunis pour former une grappe.

    La transformation du jaune en oeuf complet commence lorsque l'ovule tombe dans l'embouchure de l'oviducte que l'on appelle aussi trompe. Le follicule membra­neux qui, jusqu'à présent entourait l'ovule, se rompt, ce dernier demeurant dans l'ovaire en forme de calice membraneux, jusqu'à ce qu'il parvienne à l'oviducte. Dans ce canal, le jaune progresse en tournant, par mouve­ments péristaltiques jusqu'au tube albumini­pare où il reçoit trois couches de blanc dans un laps de temps variant de six à huit heures.

    L’ovule joint au blanc poursuit son chemin et arrive à l'utérus où il séjourne de douze à vingt quatre heures pour permettre la formation de la coquille. Directement sur le blanc se dépose la première pellicule opaque, mince mais relativement rigide, qui est la membrane coquillère. De suite après, s'étend par-dessus la membrane, une pâte calcaire qui durcit rapidement et forme ce que l'on appelle, la coquille.

    L'oeuf tout a fait terminé est expulsé par le cloaque grâce à une très forte contrac­tion des muscles pelviens, et parvient au dehors généralement par le gros bout.

     

    LES ŒUFS ANORMAUX

    Les oeufs présentent souvent des ano­malies : sans coquille, taches de sang dans le jaune dues soit à un mauvais fonctionne­ment de l'oviducte, soit à une légère déchi­rure causée au moment du détachement de l’ovule.

    LA FECONDATION DE L’OEUF

    En ce qui concerne la fécondation de l'oeuf, il est impossible de préciser si elle a lieu lorsque l'ovule se trouve dans l'ovaire ou dans l'oviducte. Les deux thèses ont leur partisans, mais par hypothèse, nous pouvons déduire qu'après l'accouplement, les spermatozoïdes demeurent dans l'oviducte jusqu'à l'arrivée du jaune. A ce moment là, le spermatozoïde le plus vaillant se dirige vers le balstoderme, se joignant au gamète femelle, et à partir de cet instant, l'oeuf est fécondé.

    Etant donné que les spermatozoïdes restent dans l'oviducte, il est normal que les oeufs pondus huit ou dix jours plus tard soient fécondés, même si l'on a retiré le mâle du poulailler.

    L’EVOLUTION APRES LA FECONDATION

    Très vite, soit naturellement, soit par l'intermédiaire d’un appareil, la chaleur agit sur l'oeuf en modifiant sa structure inté­rieure.

    Le blanc se fluidifie, laissant plus de mobilité au jaune, qui après douze heures d'incubation, vient frôler la coquille. Les chalazes disparaissent, le jaune grossit et se couvre d'une multitude de petites veines, de manière qu'il puisse être absorbé par ces vaisseaux sanguins. Le vitellus se rapproche de plus en plus de la coquille, offrant une plus grande superficie à la chaleur. Le blanc n'est pas directement absorbé par l'embryon en croissance, mais par l'intermédiaire du jaune qui subit une complète modification. C'est pour cette raison que l'on ne trouve jamais de veines dans le blanc.

    LE BLASTODERME

    Immédiatement après la fécondation, c'est‑à‑dire après la fusion des gamètes mâle et femelle, des changements commencent à se produire à l'intérieur du jaune, même durant son trajet dans l'oviducte. Dans la cellule, jusqu'alors simple du vitellus, se produisent des divisions grâce auxquelles l'embryon se développe. On constate la première segmentation du disque germinal qui se coupe en deux cellules : l'ectoderme et l'endoderme. L'oeuf peut rester ainsi vivant durant deux ou trois semaines. Passé ce délai, s'il n'est pas mis en incubation, le germe meurt.

    LE DEVELOPPEMENT DE L’EMBRYON

    Peu de temps après la mise en incuba­tion, il se forme entre l'ectoderme et l'endo­derme, une partie intermédiaire appelée mésoderme qui, plus tard, donnera naissance aux vaisseaux sanguins et au coeur.

    L'organe de protection de l'embryon est l'amnios qui secrète un liquide dans lequel le germe flotte. L'organe d'alimenta­tion est le sac vitellin ou jaune. L'organe excréteur est l'allantoïde formée par une petite cavité sphérique se trouvant derrière le jaune. Cependant, le bastoderme se déve­loppe et les cellules de l'endoderme, du mésoderme et de l'ectoderme se multiplient rapidement.

    Au troisième jour d'incubation, appa­raît le coeur, au quatrième on peut distin­guer les yeux et la tête. Après six jours, il est possible de remarquer les ailes, les pattes ainsi que le début de la formation du bec, terminée au neuvième jour, au moment où vient d'apparaître le duvet. Le dixième jour, l'embryon commence à bouger, le treizième il ouvre le bec, le quatorzième il est complè­tement formé. Le dixneuvième jour, le blanc a disparu, le vingtième on aperçoit une proé­minence au bout du bec qui, vingt quatre heures plus tard, si les conditions d'incuba­tion ont été normales, aidera le poussin à briser la coquille et à éclore.

     

    A partir de l'ectoderme se sont formés le cerveau, la peau et les organes des sens. Du mésoderme se sont développés le sque­lette, les muscles, le coeur et les vaisseaux sanguins. L'endoderme a permis la formation du tube digestif, du foie, des glandes et des poumons.

    Les poussins femelles nouvellement éclos possèdent les deux ovaires en vague forme de haricot. L'ovaire droit avec son oviducte correspondant, va bientôt s'atrophier complètement. Par contre, les testicules des mâles se distinguent des organes sexuels féminins par leur contour bien défini et leur égale grosseur qui variera d'ailleurs avec le temps. L'ovaire et les testicules sont collés à la colonne vertébrale.

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    LES DIFFERENTS INCIDENTS POUVANT SURVENIR

    EN COURS D’INCUBATION 

     

    SYMPTÔMES:

       

    I ‑ Oeufs clairs, pas de vaisseaux sanguins, absence de développement embryonnaire.

     

    CAUSES :

    A. Les ceufs infertiles sont dus à :

    1) La stérilité des mâles ou à un faible taux d'éclosion héréditaire au troupeau.

    2) Un nombre trop faible ou trop grand de mâles. Des mâles combatifs, ou interférence entre ces derniers.

    3) Des mâles trop âgés.

    4) Une alimentation non appropriée ou de l'eau en insuffisante quantité (ou de l'eau trop chaude ou trop froide). Le troupeau peut être constitué de sujets mâles et femelles trop maigres ; présence de crêtes et de barbillons ratatinés chez les mâles.

    5) Des oiseaux confinés de façon abusive.

    6) Des déclins saisonniers de fertilité à la fin de l'été et à l'automne.

    7) Des crêtes et des barbillons gelés.

    8) Des maladies chez les reproducteurs.

    B. Des oeufs endommagés soit parce qu'ils n'ont pas été assez vite refroidis, soit parce qu'ils ont été surchauffés avant la mise en incubation.

    Mesures correctives :

    A. De bonnes conditions d'élevage, une nutri­tion et une organisation du troupeau adaptées.

    1) Pratiquer un tri sévère en vue d'obtenir une bonne éclosabilité.

    2) Elever les mâles ensemble. Utiliser 4 à 7 mâles pour 100 femelles chez les races légères, 5 à 8 mâles pour 100 femelles quand il s'agit de races lourdes et 8 à 10 mâles pour 100 femelles chez les dindons.

    3) Ne pas employer de vieux mâles à moins qu'ils ne soient d'excellents reproducteurs.

    4) Adopter un régime alimentaire équilibré, de haute qualité. Utiliser des abreuvoirs adéquats, intelligemment conçus afin que tous les oiseaux puissent accéder facilement à l'eau fraîche.

    5) Fournir assez d'espace à chacun des oiseaux présents.

    6) Se servir de jeunes coqs nés tôt dans la saison et possédant donc plus de maturité.

    7) Garantir un abri confortable aux repro­ducteurs. Graisser la crête des mâles par temps froid.

    8) Effectuer des contrôles sanitaires.

    B. Ramasser les oeufs fréquemment et les mettre rapidement dans une ambiance fraîche.

     

    Il ‑ Des oeufs paraissant clairs mais présentant des vaisseaux sanguins ou un tout petit embryon :

    A. Des oeufs surchauffés ou soumis à une trop forte température.

    B. Une température inappropriée durant le premier stade d'incubation.

    C. Une mauvaise fumigation ou trop de fumigation, ou des oeufs traités trop tôt dans la période d'incubation.

    D. Faire reproduire des sujets en mauvaise condition (crêtes gelées, maladies, etc).

    E. Une nutrition inadaptée.

    F. Un faible taux d'éclosion héréditaire du troupeau.

    Mesures correctives :

    1) Ramasser souvent les ceufs et les rafraîchir rapidement.

    2) Contrôler la justesse du thermomètre. Régler la couveuse à la bonne température.

    3) Suivre les instructions concernant l'appareil de fumigation.

    4) Ne pas retenir des oeufs fécondés de coqs à la crête gelée ou qui ne sont pas parfaitement sains, en particulier ceux atteints de pullorose ou de salmonellose.

    5) Distribuer une alimentation de bonne qualité.

    6) Procéder à un tri sévère et sélectionner le troupeau selon des critères de forte éclosabi­lité. Améliorer votre élevage pour parvenir à une meilleure éclosabilité.

     

    III ‑ De nombreux germes morts :

    A. Une température trop forte ou trop basse de la couveuse.

    B. Un manque de ventilation.

    C. Un mauvais retournement d'oeufs.

    D. Voir les causes D, E, F concernant le 2ème symptôme.

    Mesures correctives :

    1) Vérifier l'exactitude du thermomètre. Régler la couveuse à la bonne température.

    2) Assurer une ventilation correcte dans la couveuse.

    3) Tourner les oeufs à intervalles réguliers 8 fois par jour.

    4) Voir les mesures correctives D, E, F du 2ème symptôme.

     

    IV ‑ Des poussins normalement formés mais morts sans avoir pu briser leur coquille .

    A. Un taux d'humidité bas dans la couveuse une humidité trop basse ou trop forte au moment du transfert dans l'éclosoir.

    B. Voir causes A, B, C du 3ème symptôme.

    Mesures correctives :

    1) Maintenir une humidité suffisante dans la couveuse et pendant le cycle d'incubation.

    2) Voir mesures correctives D, E, F du 2e symptôme.

     

    V ‑ Des oeufs brisés mais des poussins morts dans la coquille :

    A. Un taux d'humidité insuffisant, ce qui constitue la principale cause.

    B. Une mauvaise ventilation ou une fumigation excessive pendant l'incubation.

    C. Une trop forte température sur une courte période.

    D. Une température trop basse en moyenne.

    Mesures correctives :

    1) Maintenir une humidité correcte pendant l'incubation et au moment de l'éclosion.

    2) Adapter une bonne ventilation dans la couveuse et veiller au bon fonctionnement des bouches d'aération.

    3) Éviter un excès de température.

    4) Conserver une température correcte dans la couveuse pendant l'incubation et lors de l'éclosion.

     

    VI ‑ Des poussins gluants souillés par le contenu de l'oeuf.

    A. Une température moyenne faible. B. Une humidité trop importante.

    C. Une mauvaise ventilation, ou une

    fumigation inadaptée des oeufs dans la couveuse, ou une, fuinigation excessive dans l'éclosoir.

    Mesures correctives

    1) Assurer une température adéquate.

    2) Maintenir une humidité convenable dans la couveuse pendant l'incubatioon et au moment de l'éclosion.

    3) Fournir une ventilation satisfaisante dans le couvoir et penser à vérifier les bouches d'aération de l'incubateur.

     

    VIl ‑ Des coquilles sèches collées aux poussins :

    A. Les oeufs se sont trop desséchés.

    B. Un taux d'humidité insuffisant durant l'éclosion.

    Mesures correctives

    1) Une ventilation et une humidité correctes pendant l'incubation et l’éclosion.

    2) Assez d'humidité lors de l'éclosion.

     

    VIII ‑ Des poussins éclos trop tôt avec un cordon ombilical ensanglanté.

    A. Une trop forte température.

    Mesures correctives:

    1) Maintenir une bonne température dans la couveuse durant l'éclosion.

     

    IX ‑ Des cordons ombilicaux médiocres

    A. Une forte ou de grandes variations de température.

    B. Une humidité excessive dans l'éclosoir après le transfert.

    Mesures correctives:

    1) Conserver une bonne température pendant l'incubation et l'éclosion.

    2) Diminuer le taux d'humidité 24 à 36 heures après le transfert.

     

    X ‑ Des poussins trop petits

    A. Des petits oeufs.

     B. Une humidité insuffisante.

    Mesures correctives:

    1) Ne pas utiliser les petits oeufs.

    2) Garder une humidité correcte pendant l'incubation et l'éclosion.

     

    XI ‑ Des poussins gros et mous ; des poussins morts sur le plateau et dégageant une mauvaise odeur.

    A. Une température trop faible.

    B. Une mauvaise ventilation.

    C. De l'omphalite.


    Mesures correctives :

    1) Maintenir une bonne température pendant l'incubation et l'éclosion.

    2) Assurer une ventilation suffisante dans le couvoir et régler les bouches d'aération.

    3) Laver et désinfecter entièrement l'incubateur entre les différentes éclosions. Désinfectez‑le fortement entre les éclosions ; désinfectez également les ceufs dans la couveuse.

     

    XII ‑ Des poussins faibles:

    A. Une température élevée dans l'éclosoir.

    B. Une mauvaise ventilation dans l'éclosoir.

    Mesures correctives :

    1) Ne pas laisser une température trop forte dans l'éclosoir. Si les poussins doivent y rester un certain temps, réduire la température après que l'éclosion soit terminée.

    2) Adapter une ventilation correcte dans le couvoir. Ne pas oublier les bouches d'aération dans l'éclosoir.

     

    XIII ‑ Duvet court chez les poussins

    A. Une trop forte température.

    B. Une humidité trop basse.

    C. Une ventilation excessive dans l'éclosoir et pendant l'incubation.

    Mesures correctives :

    1) Maintenir une température adéquate durant l'incubation et l'éclosion.

    2) Conserver un taux d'humidité satisfaisant pendant ces mêmes périodes.

    3) Diminuer l'ouverture des bouches d'aération, mais pas trop afin de permettre aux animaux de créer leur propre chaleur.

     

    XIV ‑ Des poussins haletants:

    A. Trop de fumigation dans l'éclosoir.

    B. Des maladies respiratoires comme les bronchites ou la maladie type Newcastle.

    Mesures correctives :

    1) Suivre les instructions de l'appareil de fumigation.

    2) Effectuer régulièrement des contrôles sanitaires.

     

    XV ‑ Éclosion retardée Les poussins n'ayant pas commencé à briser leur coquille avant le 21ème jour ou plus tard :

    A. Une température trop basse.

    B. Des oeufs conservés trop longtemps avant la mise en couveuse.

    Mesures correctives:

    1) Conserver une température correcte durant l'éclosion et l'incubation.

    2) Ne pas essayer de garder les ceufs plus de 7 à 10 jours  ; 14 jours au maximum si les conditions sont excellentes.

     

    XVI ‑ Une éclosion qui traîn e ‑ des poussins précoces mais une fin d'éclosion lente.

    A. Un mauvais ramasssage d'oeufs et une mauvaise conservation de ces derniers.

    Mesures correctives :

    1) Les ceufs doivent être ramassés fréquemment, rapidement rafraîchis et tenus àune température et une humidité adéquates avant leur installation dans la couveuse.

     

    XVII ‑ Des poussins mal formés issus d'une médiocre éclosion. Un nombre excessif de mauvaises positions parmi les poussins morts dans la coquille :

    A. Une mauvaise installation ou des retour­nements d'oeufs incorrects.

    B. Une ventilation inadaptée.

    C. Une température dans la couveuse anorma­lement élevée ou anormalement basse.

    D. Une humidité insuffisante.

    E. L'hérédité et la sélection.

    F. Une nourriture inappropriée.

    G. Une coquille non poreuse provoquée par des causes naturelles incluant des problèmes héréditaires et alimentaires.

    H. Des oeufs endommagés par de mauvaises conditions de transport.

    Mesures correctives :

    1) Placer les ceufs le petit bout en bas. Tourner les oeufs à intervalles réguliers 8 fois par jour.

    2) Adapter une bonne ventilation dans le couvoir et penser aux bouches d'aération de l'incubateur.

    3) Maintenir une température correcte pendant l'incubation.

    4) Conserver une humidité satisfaisante dans la couveuse.

    5) Pratiquer un tri sévère en vue d'obtenir une bonne éclosabilité.

    6) Fournir une alimentation équilibrée de qualité.

    7) Prendre soin des ceufs à couver.

    8) Les oeufs doivent être transportés dans de bonnes conditions, le petit bout en bas. Les manipuler avec précaution.


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