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    PAPE DE LOUISIANE

     

     

    MALADIES PARASITAIRES DES OISEAUX

     

    Les parasites animaux peuvent être très petits et formés d'une seule cellule : protozoaires parasites comme les coccidies, les trichomonas que l'on peut trouver dans l'intestin. Ils peuvent être beaucoup plus gros comme les vers intestinaux.

     

    LA COCCIDIOSE

     Contrairement à une opinion fausse et très tenace, la cocci­diose est très rare chez les canaris et autres petits oiseaux de cage. Elle est moins rare chez certains oiseaux indigènes (bouvreuil, pinson, etc ... ) et chez le cardinal. Elle ne provoque aucun symptôme précis sauf, parfois, des diarrhées qui, cependant, ne sont pas hémorragiques, contrairement à une autre opinion très répandue qui a sans doute son origine dans le fait que la coccidiose est hémorragique chez le poulet celui-ci étant le seul oiseau chez lequel il en soit ainsi !

     Il n'y a donc lieu d'envisager le traitement de la coccidiose que dans les cas où la maladie a été diagnostiquée par le laboratoire. Le traitement se fait généralement dans l’eau de boisson pendant 4 à 6 jours.

     

    L’ORNITHOSE PSITTACOSE

     On a longtemps pensé qu'il s'agissait d'une maladie à virus. On sait maintenant qu'elle est due à un parasite du sang, voisin des rickettsies. C'est un sujet très complexe sur lequelle on ne s'étendra pas ici. On peut seulement dire que l'ornithose est très répandue chez les oiseaux, les pigeons en particulier, et que sa forme plus aiguë, spéciale surtout aux perroquets (psittacose), est rare. Il faut ajouter qu'avec les antibiotiques, cette maladie a perdu beaucoup de sa gravité pour l'homme.

     

    LES VERS PARASITES

     ils n'existent pas chez les petits oiseaux de cage comme les canaris, et aucun traitement n'est utile.

    Il arrive que de petits exotiques ‑ les papes surtout ‑ soient porteurs de ténias quand ils sont capturés et importés en France. Ils peuvent en mourir mais sans risque de contamination des autres oiseaux car le ténia doit évoluer à travers un hôte intermédiaire (insecte), et la contagion n'est jamais directe. On trouve aussi des ténias chez les petits insectivores indigènes (mésanges).

    Des oiseaux de la famille des merles peuvent s'infester en mangeant des mouchesporteuses de larves de ténias quand ces oiseaux se trouvent dans un secteur contaminé (proximité de volailles, d’oiseaux-gibier ... ). Il est possible d'éliminer ces ténias par un traitement simple.

     

    Les autres vers sont les ascaris et les capillaires qui posent surtout des problèmes chez les grosses perruches. Ces dernières en sont fréquemrnent porteuses quand elles sont élevées en volière avec sol en terre. En cage, le risque est à peu près nul. En effet, ces vers ont un cycle vital dont une partie se passe à l'extérieur dans le sol. L'oeuf de ver rejeté avec les excréments n'est pas dangereux pour un oiseau qui l'absorbe à ce moment. Par contre, s'il séjourne dans un milieu humide, à une chaleur suffisante, une larve de ver minuscule se forme dans l'oeuf ; cet oeuf qui contient un embryon de ver est infestant .; si un oiseau l'absorbe, l'oeuf s'ouvre, libère la larve qui donne un nouveau ver dans l'intestin en 20 à 50 jours selon les vers.

    Les ascaris sont des vers assez gros ; chez les perruches, ils ont 2 à 3 cm de long sur 1 mm de diamètre.

    Les capillaires, par contre, bien qu'assez longs (1 cm environ) sont telle­ment fins qu'on ne peut guère les voir qu'au microscope.

    On décèle la présence de ces vers à l'autopsie et du vivant de l'oiseau par examen microscopique des fientes où l'on trouve leurs oeufs caractéristiques.

    TRAITEMENT: il est inutile de répéter les traitements sur les perruches en cage une fois qu'elles sont débarrassées de leurs parasites. Par contre, il est pratiquement nécessaire de traiter régulièrement les perruches en volières tous les deux mois, parfois~plus souvent.

     

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    Dendrocygne veuf  (photo Jean-Marc)

     

     

    LES DENDROCYGNES

    Les dendrocygnes constituent une famille distincte, qui peuple les régions tropicales et subtropicales d'Amérique, d'Afrique, d'Asie et d'Australie. Ils ont tous de longues pattes et leur maintien est relevé.

    lis couvent parfois en captivité, bien que difficilement. Par gel rigoureux et prolongé, il faut les transporter dans une volière inté­rieure ou un cabanon. Ils ne sont pas com­batifs. La couvaison des oeufs qui sont blancs chez toutes les espèces, dure de 27 à 32 jours.

     

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    Le Dendrocygne à ventre noir du nord (dendrocygna autumnalis) vit en Amérique Centrale et en Amérique du Sud où on le tient aussi captif, comme oiseau domesti­que. il se distingue par son bec rouge contrastant avec le corps gris‑rouge et les pat­tes roses.

     

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    Le Dendrocygne veuf (dendrocygna vi­duata) est dipsersé à travers le Costa Rica, la Trinidad, l'Argentine du Nord, le Para­guay, l'Uruguay, l'Afrique Centrale et Méri­dionale et le Madagascar. Les joues et le dessus de tête sont blancs, l'arrière de la tête et la nuque, noirs. Le corps est brun, les pattes gris‑bleu.

    Le Dendrocygne à lunules d'Indonésie (Java) (dendrocygna arcuata arcuata) vit dans les iles de Bornéo, de Sumatra, de Cé­lèbes, d'Amboine et aux Philippines. Il est entièrement de teinte brune en diverses nuances.

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    BIEN CONNAITRE LE SUJET POUR REUSSIR

     

    Avec les lapines, vous pouvez compter normalement sur quatre portées par an. Une moyenne de six lapereaux par portée n'a rien d'exagéré. Dans un ensemble, vous pouvez donc vous baser sur trois femelles par portée.

    Et tout de suite, on peut  remarquer, gros avantage, qu'avec les lapins vous pou­vez débuter à n'importe quelle époque. Dès que vous êtes en mesure de loger vos pre­miers sujets, vous pouvez donner le départ à votre élevage. Tandis qu'avec les poules, si vous ne pouvez occuper les lieux de votre exploitation, ou avoir le matériel nécessaire livré, qu'en juillet par exemple, il vous faudra attendre mars suivant pour débuter réelle­ment et ce seront neuf mois perdus pour vous, pendant lesquels certains frais continueront de courir.

    En cuniculture, dès que vous avez un clapier de quelques loges (et la nour­riture assurée bien entendu), vous pouvez démarrer.

    Parlons du minimum. Supposons que le 1er juillet, vous ayez une bonne lapine de 7 à 10 mois, de race pure, achetée pleine et un jeune mâle de 4 à 5 mois, de même race pure, mais de souche différente. Par précaution, vous aurez une autre lapine quelconque qui aura été saillie à la même date que votre mère de race pure, afin de vous assurer une « nourrice » au cas où la première portée de race pure compterait plus de six lapereaux. Car il faut éviter, dans cette première portée de départ, de sacrifier quel­ques jeunes qui pourraient être des femel­les. Il convient de ne pas laisser non plus 10 ou 12 petits à élever à la même mère lorsque l'on veut en obtenir des reproducteurs vigoureux.

    Nous disons donc une mère de race pure en gestation le 1er juillet. Vous pouvez es­pérer trois femelles de cette première portée qui seront en âge de reproduire au 1er avril suivant. Votre première reproductrice doit vous donner, avec votre jeune mâle, trois autres femelles en âge de reproduire le 1er juillet. Un an après, partant d'une seule re­productrice, vous en avez sept et davantage avec un peu de chance. Il vous faudra alors un autre mâle d'un autre sang. Mais six mois plus tard, vous devez avoir neuf autres mè­res en âge de reproduire par les trois jeunes de votre première portée, plus trois autres de de la troisième portée de la mère initiale, soit 12 à ajouter aux 7 précédentes. Et si vous persistez à conserver toutes vos femel­les un an plus lard, vous ne saurez plus où les loger.

    Vous voyez que si vous débutez avec deux ou trois reproductrices achetées pleines et deux jeunes mâles de sang différents, ce qui ne représente pas un cheptel de base trop onéreux, vous arriverez rapidement à dispo­ser de quarante reproductrices si vous le dé­sirez. A condition, bien entendu, de savoir élever des lapins et ne pas les perdre en série à l'âge de quelques semaines.

    Notez qu'avant même d'avoir constitué vo­tre cheptel de 40 reproductrices, vous aurez vendu des mâles qui vous auront en partie défrayé.

    Votre installation, pour l'exploitation d'un tel cheptel, vous l'aurez établie au fur et à mesure de son développement. Et si vous êtes capable de construire vous‑même vos clapiers sur un bon modèle, vous aurez moins déboursé qu'en achetant des loges toutes faites. Mais de toutes façons, un clapier n'est pas très dispendieux.

    En restant raisonnablement optimiste, il est très plausible de constituer rapide­ment et avec une mise de fonds relativement modeste, un élevage cunicole qui ne fera pas trop attendre son plein rende­ment.

    Mais il est évident qu'il ne faut pas se met­tre à la tête de 40 lapines reproductrices en sortant du Ministère des Travaux Publics ou dès le lâcher d'un fonds de commerce quelconque. Il est nécessaire de connaître les lapins et la ma­nière d’en conduire l’élevage. Et ce n'est pas parce que vous en aurez "tenus" quelques uns dans une cour, que vous aurez fait le « tour de la question ».

     C'est donc à vous de bien connaître le sujet avant de vous lancer.

     

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    L'HYGIENE ET LA SANTE DES PIGEONS

     

    S'il est vrai que les pigeons sont sujets à de nombreuses maladies, il est démontré aussi que ces maladies peuvent être évi­tées en unissant certaines règles hygiéni­ques à une saine alimentation. Il n'est pas étonnant du tout que le pigeonnier dans le­quel l'hygiène n'est pas observée soit une source de déboires constants,

    En premier lieu, il faut éviter l'encombre­ment. Maintenir dans un local trop étroit un trop grand nombre d'animaux, c'est infailli­blement les condamner à toutes sortes d'épidémies, plus contagieuses les unes que les autres.

    Une bonne aération est indispensable car les pigeons ont besoin, pour prospérer, d'un air fréquemment renouvelé ; les ouver­tures dont tout bon pigeonnier devra être largement pourvu, ne seront totalement fermées que pendant l'hiver, lors des grands froids, et durant la nuit seulement.

    La propreté aussi est une des conditions essentielles de bien‑être ; on nettoiera fré­quemment les cases et les nids et, au moins une fois par an ; en février‑mars, d'ordinaire avant l'époque de la reproduc­tion, on procèdera à un nettoyage complet suivi d'un blanchissage au lait de chaux, et à des pulvérisations de solution désinfectante.

    Peu d'oiseaux aiment autant la propreté que les pigeons ; mais il ne suffit pas de maintenir le pigeonnier propre, il faut que le pigeon puisse lui‑même se maintenir dans cet état et faire journellement sa toilette. C'est dans ce but qu'il lui faut, outre l'eau destinée à sa consommation, un bassin où, été comme hiver, il ira chaque jour prendre un bain, différant en cela es­sentiellement des poules ou autres gallina­cés qui n'ont besoin d'eau que pour leur boisson.

    N'oublions pas que la propreté est aussi le meilleur moyen d'éviter la trop grande pullulation de tous les parasites qui assiè­gent ces pauvres oiseaux. En appliquant ces soins et en suivant ces précautions, on évitera les pertes qui ne manqueront point dans un pigeonnier mal tenu.

    Il y a surtout un moment critique dans tout élevage : l'automne et les premiers froids. Ils coïncident avec la mue, et si cel­le‑ci est une fonction et non une maladie, elle offre toutes les apparences de cette dernière.

    Chez les jeunes pigeons, la mue com­mence dès qu'ils sont aptes à pourvoir eux-­mêmes à leurs besoins en nourriture ; chez les adultes, elle peut avoir lieu de juin à novembre. Les pigeons qui muent sont délicats ; ils crai­gnent la pluie et l'humidité. Il faut leur don­ner, durant toutes cette période, une nour­riture réconfortante et les empêcher autant que possible de sortir par temps de pluie. Ceux qui muent tard sont surpris par les chutes de température qui se pro­duisent à cette époque de l'année et ils en souffrent. La mue peut alors être arrêtée et les sujets en mourir. On les voit, les plumes hérissées, se maintenir immobiles dans un coin. Il est temps d'intervenir.

    Les oiseaux ainsi éprouvés seront placés dans un local tempéré ; il est préférable de les mettre séparément dans de petites ca­ges grillagées ou des appareilloirs et de leur donner une nourriture stimulante et fortifiante : graines, pâtées, etc. Ici peut se placer une recommandation importante : dès que l'on aperçoit dans le colombier, un oiseau qui, hérissé, fait la boule, signe cer­tain trouble sérieux, voire de maladie, il faut le séparer des autres jusqu'à ce qu'il soit guéri ou, du moins, jusqu'au moment où on est convain­cu que son problème n'est pas contagieux.

    Une très bonne pratique consiste à sépa­rer les deux sexes durant l'hiver, c'est‑à­-dire à mettre dans des compartiments dis­tincts, sans communication, d'un côté les femelles, d’un autre les mâles.

      Il est évident que les pontes d'hiver ne sont pas recommandables ; par temps froids et humides, les femelles pondent dif­ficilement et, souvent, l'oeuf est arrêté dans l'oviducte. D'autre part, les pigeonneaux, pendant les froids, sont malingres et n'at­teignent jamais la taille des parents.

    Pour éviter dans le pigeonnier, la ponte d'hiver préjudiciable, il faut enlever, durant la mauvaise saison, les nids et tous les ma­tériaux qui pourraient inciter les femelles à pondre.

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     Cravaté allemand, type ancien.

     

     


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    DES PRECAUTIONS A PRENDRE

    PENDANT LES FORTES CHALEURS

     

     Le soleil d'été constitue un extraordinaire moyen d'anéantir les germes et la vermine aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur des poulaillers. C'est également dans les rayons ultra‑violet que les volailles, jeunes ou adul­tes, trouvent la vitamine D nécessaire à leur croissance et à leur maintien en bonne san­té.

    C'est surtout durant les mois les plus chauds que l'éleveur se devra de veiller plus particulièrement au con­fort de ses volailles les plus jeunes et les plus âgées. Dans la mesure où elles ne trans­pirent pas, il n'est pas toujours aisé de sa­voir si elles ont chaud, d'où le risque de ne pas leur apporter une protection suffisante. Comme les chiens, elles peuvent haleter, mais elles préfèrent plus encore se rouler dans la terre humide d'un endroit ombragé. Il est donc bénéfique de penser à humidifier les bains de poussière, opération qu'il vaut mieux réaliser le soir venu afin que le lende­main la terre à laquelle on aura ajouté un peu de sable fin, soit simplement humide et non boueuse.

    Lorsque la température devient trop étouf­fante, sans le moindre souffle d'air, il con­viendra de protéger les volailles en leur amé­nageant des zones d'ombre sous peine de les voir souffrir d'un excès de chaleur, comme elles souffriraient d'ailleurs de tout autre ex­cès.

    Quand la température approche les 35 degrés, il est nécessaire de se montrer vigi­lant en ce qui concerne le degré de chaleur dans les poulaillers et les nids.

    Les volailles affectées par une trop forte chaleur se couchent sur le sol, le bec en avant. Elles cherchent un peu de fraîcheur venue de la terre et si vous avez pensé à arroser celle‑ci la veille au soir, elles seront alors un peu soulagées.

    Quant à celles qui seront le plus durement touchées, il est conseillé de les plonger dans de l'eau fraîche en prenant garde tou­tefois de ne pas mouiller la tête, puis de les placer dans un endroit ombragé.

    Par temps chaud, il faut inciter les animaux à sortir du poulailler en leur installant des zones ombragées sur  leur par­cours. S'il n'existe pas d'ombre naturelle, on peut fabriquer une plate‑forme recouverte de buissons, de branchages ou même de sim­ples sacs de toile, sous laquelle on dispose­ra des abreuvoirs et où on pourra arroser le sol.

    S'il n'est pas possible de procéder à un tel aménagement, il faut concentrer tous ses ef­forts à rendre les locaux dans lesquels évo­luent les volailles aussi frais que possible.

    Ceci est réalisable en passant une pein­ture blanche sur le toit et en faisant des ou­vertures d’aération dans la partie basse du mur du fond.

    En cas d'urgence, à l'aide d'un tuyau, on peut asperger, de façon modérée les vo­lailles qui sont rentrées dans le poulailler et qui sont accablées de chaleur.

    Il est préférable d'installer les nids du côté Est du poulailler ou dans le fond afin que les poules en train de pondre n'aient pas à pâtir d'une chaleur trop forte. Lorsque les nids sont déjà construits sur le devant du bâtiment, il faudra les enduire d'une peinture semblable à celle qu'on aura utilisée pour le toit, et équi­per le local d'un système de ventilation ap­proprié. Généralement, quand il fait trop chaud dans les nids, les poules ont tendance à pondre leurs oeufs sur le sol.

    Pourtant, même en prenant toutes ces pré­cautions, il arrivera que des volailles suc­comberont encore parce qu'elles n'auront pas pu disposer d'eau  suffisamment pro­pre et fraîche.

    L'abreuvoir automatique représente un dis­positif qui, une fois placé dans les parquets, nécessite une ombre assez importante pour permettre aux animaux de boire en se te­nant à l'abri du soleil car c’est l'ensemble du système et pas seulement l'endroit où se trouve l'eau qui doit être tenu à l'abri. Si on utilise un matériau foncé, il faudra également le pein­dre en blanc car cette couleur, à la diffé­rence d'autres teintes qui attirent la chaleur, a la particularité d'atténuer cette dernière.

    Il est aussi primordial de garder propres les réci­pients car une eau sale, même quand la soif se manifeste, n'est guère appétissante.

     La digestion des volailles relève d'un pro­cessus de fermentation qu’il ne faut surtout pas le bouleverser en employant de la nour­riture dont la fraîcheur laisse à désirer. En outre, évitez de donner des déchets durant les mois les plus chauds de l'été. Rappelez ­vous qu'on ne doit pas non plus laisser de pâtée humide dans les mangeoires. Ne ser­vez jamais de verdure qui ne soit pas fraî­che.

    Si, malgré tout, on utilise une pâtée hu­mide, il est préférable d'accompagner celle­-ci de verdure fraîche finement hâchée, en attendant le soir pour servir le grain.

     

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    Coq Leghorn 2

     


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