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    Fuligule Milouin mâle

     Fuligule Milouin mâle  (photo Neil Phillips - Wikimedia)

                                 

                                       LE FULIGULE MILOUIN

     

    SIGNES DISTINCTIFS

     

    Mâle :

    Bec agrémenté d'un anneau bleu sur fond noir ‑ Yeux de couleur rouge vermillon ‑Tête et cou roux vif ‑ Poitrine noire ‑ Ventre, flancs et dos gris argenté ‑ Croupion noir ‑Rectrices gris foncé ‑ Courvertures de l'aile gris fer ‑ Miroir gris plus clair, peu marqué ‑ Pattes gris plomb à palmes noires.

    Femelle :

    Bec avec un anneau bleu sur fond noir ‑Yeux de couleur rouge foncé ‑ Tête et cou brun clair ‑ Poitrine brun foncé ‑ Ventre gris brun ‑ Flancs gris brun ‑ Dos identique au mâle ‑ Croupion brun foncé ‑ Rectrices semblables à celles du mâle ‑ Couvertures de l'aile plus sombres que celles du mâle  ‑ Miroir et Pattes comme le mâle.

    Le mâle, en éclipse (de juillet à septem­bre), est moins riche en couleur. Les teintes de tête, poitrine et croupion se salissent de gris.

     

    INDICES SUPPLÉMENTAIRES D'IDENTIFICATION

     

    Du canard plongeur, il emprunte toutes les caractéristiques : c'est un canard court, dense, râblé, qui porte une tête grosse sur un cou épais. Ses pattes, très en arrière du corps, ne lui permettent pas le décollage vertical : il doit battre l'eau à la manière de la foulque macroule pour s'envoler.

    Vol rapide, mais moins capricieux que ce­lui de la Sarcelle. Oiseau trapu aux ailes grises.

     

    Cris :

    Les milouins sont très discrets et émet­tent un faible sifflement : "krik" ou "krarr".

     

    Caractères :

    Le milouin est un oiseau calme, peu fa­rouche, volontiers dormeur. Son grégarisme lui fait tolérer la compagnie des foulques, morillons, mais il apprécie tout autant les autres anatidés, sauf en captivité. Il affec­tionne les marais d'eau douce à grande sur­face de préférence, et aux fonds peu impor­tants. Il est volontiers joueur et plonge dans de folles poursuites avec ses congénères. Par souci de protection, il se met au centre du marais où il a plus aisément vue et aire d'envol.

     

    Mensurations :

    Son poids oscille plus volontiers autour de 850 g. mais peut dépasser le kilo.

    Son tour de poitrine révèle sa rondeur 30 à 35 cm.

    Sa longueur totale (les pattes dépassant largement le corps) : 50 à 55 cm.

    La mesure d'aile pliée présente le dimor­phisme : 213 à 222 pour le mâle, moins de 212 mm pour la femelle.

    Bec : 4 à 6 cm.

     

    Reproduction :

    Fin avril, à proximité de l'eau, ou même sur l'eau, à la manière des foulques et pou­les d'eau, la femelle construit son nid de filaments aquatiques et y dépose 7 à 12 oeufs verdâtres qu'elle couve 25 jours en moyenne. Les poussins sont, dès la nais­sance, plongeurs émérites. Ils perdent leur duvet brun, jaune et gris pour voler à 2 mois. Les mâles se regroupent pendant cette période et traînent dans les marais.



    Répartition :

    ‑ Zone de nidification

    C'est un canard "froid", volontiers nordi­que comme son ami le morillon. Il affec­tionne les îles britanniques, la Sandinavie (où il apparaît en 1850), la Russie et la Si­bérie. Son aire nidificatrice extrême sud semble être la Hollande, l'Allemagne et la France. Il semblerait que le cheptel né en France soit en augmentation. La nidification est de plus en plus importante, en Sologne et se rencontre aussi dans les Dombes, en Lorraine, et peut‑être dans le Nord où il ar­rive à plusieurs célibataires mâles de déam­buler sur les marais dans la deuxième quin­zaine de mai.

    ‑ Zone d'hivernage

    Il descend volontiers jusqu'à la Méditerra­née, l'Inde et la Chine. Le cheptel d'hiver­nants français est évalué à quelques milliers individus (Brière, Grand‑lieu, Camargue).

     

    Nourriture :

    Il va la chercher parfois même par quatre mètres de fond. Ce gourmand est essentiel­lement végétarien et affectionne les tendres pousses et graines aquatiques. Il fouille la vase et ne dédaigne pas les mollusques, vers, larves, insectes qu'il ramène après des plongées de 20 à 25 secondes. Son régime varié lui fait tolérer aisément la cap­tivité et il est capable de devenir très familier.

     

    Migrations : 

    ‑ Migrations de descente :

    Les hivernants séjournent sur les marais d'eau douce tant que leur faculté de plon­geur n'est pas entravée par le gel.

    ‑ Migrations de remontée :

    Dès la fin février et mars pour nos hiver­nants, les milouins reprennent le chemin du nid. Leur migration est des plus discrètes et emprunte le plus volontiers la route de l'Eu­rope de l'Est.

     

    Sous‑espèces

    Il existe deux sous‑espèces de notre mi­louin : le milouin à tête rousse d'Amérique, au dos sombre, et le milouin aux yeux rou­ges, à dos blanc.

    Ne pas confondre le milouin avec...

    ‑ le fuligule milouinan ‑ mâle : tête vert foncé, ventre blanc ‑ femelle : front blanc.

    ‑ le fuligule nyroca : yeux blancs, tête et poitrine sombres.

    ‑ le fuligule morillon femelle : iris jaune, barre blanche sur le front.

    ‑ la nette rousse femelle : miroir blanc, calotte marron, bec rouge.

     

    Fuligule Milouin femelle

     Fuligule Milouin femelle.  (photo Snowyowls - Wikimedia)

     

     


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    Papillon anglais-copie-2

     

     

    DES FORMES ATTENUEES DE LA MYXOMATOSE

    La myxomatose est une maladie justement redoutée des éleveurs, mais il semble que beau­coup d'entre eux s'en fassent une image un peu trop rigide ou classique. On voit souvent des éleveurs envoyer des sujets dans les labo­ratoires ou demander conseil à leur vétérinaire ou à un technicien et être tout surpris devant le diagnostic de myxomatose.

    Pour eux, en effet, la myxomatose reste ce qu'elle était au début : une maladie entraînant avant tout une énorme enflure de la face, don­nant au malade un aspect repoussant, gagnant les oreilles qui, alourdies, sont pendantes le tout accompagné d'ophtalmie purulente qui, s'ajoutant à l'enflure, rendaient souvent le ma­lade aveugle. Moins immédiatement visibles, des lésions génitales complétaient ce tableau redouté, avec l'apparition de nodules cutanés de dimensions variables.

    Depuis déjà quelque temps, on observe des for­mes atténuées dues à des souches de virus moins pathogènes et dont l'apparition est le résultat  de mutations du virus initial. Ces mutations s'observent dans toutes les espèces vivantes et consistent dans l'apparition chez un individu (à la naissance bien entendu et en fait dès la formation des cellules sexuelles) d'un carac­tère nouveau qui, par la suite, est héréditaire. Les éleveurs de lapins savent bien que la va­riété "Rex'" est ainsi due à une mutation. Ces mutations s'observent aussi chez les microbes et les virus. On peut évidemment se demander pourquoi dans le cas de la myxomatose en particulier, cette mutation s’est faite dans le sens d'une diminution de la virulence ; c'est peut­-être parce que la maladie évoluant plus lente­ment, les malades sont pendant plus longtemps une source de contagion et, une fois guéris restent pendant un certain temps des dissémi­nateurs de virus atténué, donnant à celui‑ci un avantage sur les formes plus virulentes qui causent une maladie plus rapide et ne laissent aucun survivant.

    Quoi qu'il en soit, il existe actuellement des formes de myxomatose atténuées dont les symptômes se limitent à l'ophtalmie plus ou moins purulente et en général sans cécité, et à l'apparition de nodules de la grosseur d'une lentille à celle d'un haricot et surtout visibles sur les oreilles, mais pouvant apparaître en di­vers points du corps. Il n'y a plus alors les signes caractéristiques de la maladie classique et souvent l'aspect du malade n'est guère diffé­rent de celui que l'on voit dan la coryza grave. Les lésions génitales n'existent plus et si l'éle­veur pensant à la myxomatose cherche une confirmation de ce côté, il ne la trouve pas.

    Dans certains cas,  il n'y a pas de lésions génitales ; enfin, il y a parfois oph­talmie seule, mais cela est rare.

    On se trouve donc, actuellement, assez sou­vent en présence d'éleveurs qui ne pensent pas à la myxomatose ; ceux‑là doivent savoir que devant des lésions oculaires à allure con­tagieuse, il faut y penser et chercher la confir­mation du diagnostic soit dans les nodules, des oreilles surtout, soit dans les lésions de l'appa­reil génital externe mais pas forcément dans les deux à la fois, ni dans l'enflure de la face.

    Parfois, on rencontre au contraire des éle­veurs qui pensent trop à la myxomatose et qui devant un cas d'ophtalmie, souvent sur un seul oeil sans écoulement purulent, sacrifient un su­jet que quelques gouttes d'un collyre antisepti­que auraient guéri en 48 heures.

    En conclusion, pas de diagnostic trop hâtif et ne pas oublier que la myxomatose, même atté­nuée, reste une maladie contagieuse qui ne donne donc pas un cas unique mais qui peut très bien se manifester sous des formes moins typiques dans lesquelles l'ensemble : enflure de la face, ophtalmie, nodules cutanés, lésions génitales, n'existe plus de façon isolée, l'ophtalmie sub­sistant accompagnée d'une des deux dernières lésions ; ajoutons que ces cas, fort heureuse­ment, évoluent en général vers la guérison spontanée, non sans, cependant, atteindre fà­cheusement l'état général des malades, qui en sortent fort amaigris mais aussi vaccinés.

     

    Nain de couleur Thuringe

     


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    Poule-Marans.jpg

     

     

    ET LA LITIERE ?

    Il n'est pas de petit problème en matière d'élevage. Quelle que soit l'importance d'une exploitation, les mêmes questions se posent à des échelles différentes sans doute, mais toujours de leur bonne solution dépend dans la plus large mesure le succès de l'entre­prise.

    Entreprendre quelque chose, c'est avoir l'in­tention de faire oeuvre d'utilité et de progrès. C'est donc toujours avec le même sérieux que l'on se doit de considérer les moyens de réussir et d'obtenir les résultats les meilleurs.

    En aucun cas le problème de la litière ne saurait être traité à la légère, car le compor­tement, le rendement de l'élevage sont di­rectement fonction de la santé des sujets. C'est une vérité évidente, très certainement, mais utile cependant à répéter quelquefois.

    Comment dès lors régler ce problème ? Parmi les solutions, il nous faut faire un choix qui s'inspire de raisons à la fois techniques, économiques et pratiques.

    Si nous nous plaçons uniquement au point de vue technique, il est hors de doute que nous serons amenés à vous recommander les caractéristiques d'un produit qui a fait ses preuves dans le passé déjà, et qui paraît appelé à un renouveau de succès.

    Nous voulons parler de la tourbe, ou plu­tôt, de cette qualité de tourbes que l'on ap­pelle parfois : tourbes absorbantes. Il faut en effet classer les produits ainsi appelés sui­vant leur composition et leur degré d'évolu­tion. En fait, ce sont les tourbes les plus légères qui ont comme litières le plus de qua­lité, c'est‑à‑dire les tourbes à la fois les moins fibreuses et les moins évoluées. On les re­connaîtra pratiquement à leur couleur plus claire.

    Autrefois, et d'une façon assez courante, on a utilisé les tourbes brutes, extraites et séchées, puis simplement passées sur un tamis grossier après un rapide déchiquetage au croc. Aujourd'hui, suivant les procédés en honneur notamment en Suède, le produit est, après son extraction, épandu sur le sol où il se ressuie et exposé au gel d'un ou deux hivers successifs. Cette exposition a pour effet de faire éclater les fibres et d'accroître encore le pouvoir absorbant naturel de la tourbe.

    A propos de "pouvoir absorbant", nous avons évoqué ce qui fait la qualité maîtresse du produit et lui donne un avantage exceptionnel. Certaines variétés peuvent en effet absorber jusqu'à 12 et 13 fois leur poids d'eau. Communément, une bonne variété re­tiendra 6 fois son poids. Si l'on compare sous ce rapport les éléments qui sont habituelle­ment utilisés comme litière, on constate que leur pouvoir absorbant s'échelonne comme suit :

    les feuilles                                     indice 2

    la paille de blé                              indice 2,2

    la paille d'orge                              indice 2,8

    Apte à retenir une forte proportion, et pour bien dire, la quasi totalité des déjections li­quides, la tourbe présentera donc entre au­tres, l'avantage de tenir plus longtemps le sol au sec tout en nécessitant des changements de litière moins fréquents. Déchiquetée, cali­brée, elle offre à la basse cour un tapis moel­leux extrêmement confortable. Elle a en ou­tre la propriété d'absorber les mauvaises odeurs et de constituer un milieu peu appré­cié par les insectes et les parasites.

    L'industrie est équipée pour livrer des pro­duits conditionnés en balles, ce qui a pour avantage de faciliter le transport, les mani­pulations et l'emmagasinage.

    Bien entendu, une tourbe sera d'autant plus appréciée qu'elle sera plus sèche : pratique­ment aussi sèche que peut l'être la paille de ramassage.

    Enfin, et nous rejoindrons par là une pré­occupation qui intéresse la culture grande ou petite, le champ comme le jardin, à l’heure où le fumier fait défaut et se paie un certain prix, c'est dans la tourbe que l'on sera assu­ré de trouver le meilleur véhicule de tout ce que les déjections anima-les contiennent comme azote, acide phosphorique et potasse. Le pouvoir absorbant du pro-duit per­mettra de ne rien perdre de ces éléments dont on connaît tout le prix pour le rende­ment des cultures. En même temps que vous restituerez à votre sol ces facteurs de fertili­té, vous améliorerez sa condition physique grâce à l'apport d'humus ainsi réalisé.

     

    Coq-Cochin-nain.jpg


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  •  Rouge intensif et ivoire rose schimmel

     

    Rouge intensif et ivoire rouge schimmel.

     

    A PROPOS DE LA COLORATION DES CANARIS

    A FACTEUR ROUGE

    Parlons à présent de la coloration. Il est évident, qu'elle ne concerne que les canaris à facteur rouge, ce dernier étant hérité, à l'origine d'une hybridation avec le Tarin rouge du Vénézuéla. La couleur rouge apparaît chez notre canari grâce à un pigment que l'on appelle lipochrome (du fait qu'il est solu­ble dans les graisses ).

    C'est un carbure d'hydrogène pour les carotènes et un car­bure d'hydrogène oxygéné pour les xanthophylles (les plus efficaces pour obtenir une belle pigmentation rouge). Ces carbures sont présents à l'état naturel sous des formes végétales; la carotte, la tomate contiennent du carotène, les fleurs de souci et de pissen­lit des xanthophylles. L'oiseau à facteur rouge qui ingère ces caroténoïdes (tel est leur nom scientifique ), les assimile au niveau des in­testins. Ils sont transportés par le sang jus­qu'au foie où ils subissent une transforma­tion chimique, puisqu'ils deviennent des xan­thophylles animales.

    Sous forme de solutions graisseuses (liposolubles d'où leur appellation, comme nous venons de le voir), le sang les conduit aux cellules spécifiques de l'élabora­tion des plumes. Ces cellules grâce à des réactions enzymatiques admettent les caro­ténoïdes dans ce qui va devenir les plumes. Bien sûr, tout se passe sous le contrôle des gènes spécifiques (héritage du patrimoine gé­nétique de la souche de nos canaris ) qui déterminent la concentration, la répartition et la nature des pigments admis. Ce qui nous explique les différentes nuances de rouge que nous connaissons.

    Maintenant que nous comprenons grossiè­rement le principe de la coloration, quels vont en être les enseignements pratiques à en tirer ? Tout d'abord, il faudra que nos oiseaux soient en parfaite condition physique pour exprimer une coloration maximum. Deuxiè­mement, cette dernière est tributaire de l'ap­port en caroténoïdes. Le métabolisme de l'oi­seau en consomme beaucoup, il faudra en fournir en suffisance ; des concentrés nous assureront le maximum de chances de voir la ration en caroténoïdes quasiment com­plète. La distribution de cantaxanthine est à ce sujet la meilleure solution. Il existe dans le commerce divers produits spécialisés en contenant. Enfin il ne faut surtout pas oublier qu'une distribution régulière de ces produits est nécessaire pendant toute la durée de la mue, sinon on s'expose à obtenir des cana­ris à coloration imparfaite puisque la couleur ne sera pas uniforme. Enfin, en période de coloration, il est souhaitable de réduire les doses de vitamine A qui peut nuire à la fixation des pigments dans les plumes.

     

     


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    perdrix rouge1

     

    Perdrix rouge.

     

    MODULER LE REGIME ALIMENTAIRE DES PERDRIX

    Les besoins nutritifs des faisans et des cailles sont bien connus. Nous pouvons en dé­duire ceux des perdrix par extrapolation.

    En ce qui concerne les besoins énergétiques certains conseillent de préparer des aliments à 2750‑2950 kilocalories, métabolisables par kilo, d'autres préconisent de limiter cette teneur à 2550 kilocalories.

    Les teneurs en matières protéiques brutes dans l'aliment varient selon les auteurs de 16 à 20%  en régime de ponte, 12 % en régime d'entretien.

     

    MODULER LA RATION DE BLÉ

    Il apparaît donc qu'en période d'entretien, la teneur en matières protéiques dans l'aliment doive être de l'ordre de 12 % alors qu'elle doit dépasser 16 % pendant la ponte.

    En pratique, le même aliment complet, avec une teneur en matières protéiques brutes mini­mum de 16 %, est distribué pendant la période de conservation hivernale et pendant la période de reproduction.

    C'est uniquement la quantité de blé ajoutée à la ration qui fera varier le taux de protéines selon les besoins.

    Ainsi en période d'entretien blé et aliment complet sont distribués en quantités égales, puis au moment de l'accouplement, le pourcentage de blé est diminué progressivement, le pour­centage d'aliment complet augmentant dans les mêmes proportions, ce qui fait qu'au moment de l'entrée en ponte, les oiseaux ne reçoivent plus que de l'aliment complet.

     

    NOURRIR UNE FOIS PAR SEMAINE

    Les quantités d'éléments minéraux que con­tient l'aliment ne sont pas connues avec préci­sion  ; aussi pour pallier une carence éventuelle, du gravier et des coquilles d'huitres broyées sont données aux oiseaux.

    L'aliment comprend, par ailleurs, toute la gamme des vitamines, plus des oligo‑éléments.

    On considère que la consommation en ali­ments secs, par oiseau et par jour, est en moyenne de 30 grammes pour les perdrix grises et de 35 grammes pour les perdrix rouges en période d'en­tretien.

    Ces doses sont un peu plus importantes en période de reproduction. En fait, les oiseaux mangent selon leurs besoins puisque les tré­mies ne sont rechargées qu'une fois par se­maine, afin de ne pas perturber trop souvent les oiseaux.

    Pour les mêmes raisons et pour limiter le travail, tous les parquets sont équipés d'abreu­voir automatiques.

     


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